2016, Année de la relance économique en Centrafrique

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IMG_0487« 2016, Année de la relance économique en Centrafrique » a promis les partenaires au développement de la République Centrafricaine lors du premier forum sur la promotion du secteur privé en Centrafrique qui a été ouvert ce matin du 9 septembre, sous le très haut patronage de Mme Samba Panza, chef d’Etat de transition.
D’après le représentant de la Banque Mondiale en République Centrafricaine, « Deux projets essentiels est entrain d’être relancé. La réhabilitation de la turbine de Boali 3, la mise en œuvre bientôt d’un projet, permettant la réhabilitation des centres de santé et les hôpitaux dans nos provinces ». Ce dernier a promis aussi de maintenir la rigueur dans la gestion des fonds publics, qui sera mis à la disposition du gouvernement de transition afin qu’il y ait une franche gestion. « Je vous rassure mesdames et messieurs, que la Banque Mondiale reste toujours au côté du peuple Centrafricain. Je félicite les initiateurs de ce forum, en particulier, Mme la présidente de Transition… », a-t-il dit pour terminer
Pour sa part, l’ambassadeur de France à Bangui demande au gouvernement de transition de prendre des mesures essentiels pour améliorer l’environnement des affaires en Centrafrique. Pour ce faire, le gouvernement doit créer un cadre propice afin de faciliter les différents appuis des partenaires aux développement à l’encontre du peuple centrafricain.

Il est à noter qu’après l’ouverture de ce forum par la présidente de transition, le bureau du forum a été mis en place. Ce bureau est composé de:

Président: Le ministre conseiller à la Présidence de la République, chargé des investissements, Théodore Jousso

Le président du GICA est le premier vice président et le deuxième vice présidence a été assuré par UMPC.

Le poste du rapporteur est assuré par le professeur Akondi Jean François assisté de M. Jean Mapénzi et M. Kpenga, directeur général de l’industrie.
La Présidente nationale de la femme ouali gara assure pour elle la modération.
A suivre…
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1 COMMENTAIRE

  1. Tant que l’économie centrafricaine restera entre les mains des prédateurs étrangers notamment les libano-syriens et les pakistanais et yéménites sans une véritable bourgeoisie nationale, la RCA ne se développera jamais.
    Si dans les années 1967 à 1972, la RCA a connu un semblant de décollage, c’est parce que BOKASSA a privilégier les nationaux. Aucun pays ne se développe avec seulement des étrangers qui transfèrent leur surplus financiers dans leur pays d’origine privant ainsi le pays de l’épargne nécessaire pour financer les investissements. C’est bien d’y penser.

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