Bangui, le 13 septembre 2023—(Ndjoni Sango). En vue de promouvoir le développement des sports scolaires et le changement de mentalité des jeunes, le ministère de la jeunesse et des sports et la Fondation d’Education d’Espérance ; Flomik (FEEF), ont signé un accord d’accompagnement. La signature a eu lieu, le mercredi 13 septembre au cabinet dudit département à Bangui.

Le sport scolaire depuis le bas âge, contribue efficacement au changement de mentalité de nombreux jeunes. Il permet aussi de détecter des talentueux capables de représenter un pays pour des compétitions internationales, lorsque la formation commence depuis la fondation.

Pour le pays comme la République centrafricaine qui a connu des moments sombres de son histoire avec les crises militaro-politiques dans lesquelles, de nombreux jeunes en ont fait l’objet, il est crucial que des réformes se fassent depuis la fondation. C’est dans cette optique que le ministère de la jeunesse et des sports en partenariat avec la Fondation d’Education d’Espérance ont signé cet accord.

Selon Marie-Florence Hond, fondatrice de FEEF et chargée de mission auprès de la fédération internationale des sports scolaires, ce protocole vise à former les jeunes pour un développement meilleur et de resserrer le lien entre les communautés : « On ne peut pas avoir le développement sans qu’il y ait la stabilité. Et la stabilité dépend du changement de mentalité et des valeurs morales civiques. Nous voulons à travers ce partenariat, inculquer le changement de mentalité, renforcer l’éducation à la citoyenneté et de mettre en place des actions concrètes qui favorisent le développement du sport en milieu scolaire. Car, le sport est un outil efficace de développement et de transformation sociale. Donc avec cette convention, nous allons une série d’actions dans les prochains jours, car la RCA est désormais Etat membre de la Confédération africaine des sports scolaires. Et si on doit investir pour une longue durée dans un pays, il faut investir sur la jeunesse, surtout dans un pays comme la RCA pour transformer la mentalité des jeunes à avoir un esprit de tolérance et de vivre ensemble», a-t-elle signifié.

Pour Aristide Briand Reboas, ministre de la jeunesse et des sports, cette signature vient concrétiser des actions déjà menées à l’avance : « Le sport scolaire est un facteur très important qui contribue au développement d’un pays. Car, si on fait l’historique, la plupart des champions que nous connaissons particulièrement en Centrafrique sont issus des circuits scolaires. Et ce même sport scolaire a contribué au fonctionnement des différentes disciplines sportives, si l’on fait le compte des infrastructures sportives scolaires qui abritent les entraînements des grands clubs du pays. Donc si nous jetons les bases des activités sportives scolaires, nous contribuerons efficacement à la formation des grands champions de demain. Et cela permettra à notre pays de regagner sa place dans le concert des nations du sport. C’est pour cette raison que nous avons fait le premier acte qui est celui de signer une convention avec cette fondation qui permettra désormais à la RCA de faire partie des Etats membres de la fédération internationale des sports scolaires », a-t-il expliqué.

Le sport centrafricain connaît depuis quelques années, une régression à cause d’insuffisance de ressources humaines et des formations de base. Cet accord est un atout majeur qui va favoriser la formation des jeunes depuis la fondation afin d’espérer un retour de la République centrafricaine dans le concert des nations du sport.

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Bangui, le 13 septembre 2023—(Ndjoni Sango). Les infrastructures sportives adéquates sont un atout pour le développement des sports dans un pays. Cependant, en République centrafricaine, il existe  plusieurs disciplines sportives avec de nombreux athlètes qui souffrent malheureusement du manque des édifices sportifs. Et si les autorités se penchent sur les questions de la construction des bâtiments sportifs ?

Le sport est un facteur de paix, du vivre ensemble et de développement socioéconomique d’un Etat si on le pratique avec aisance. Car, les compétitions internationales toutes disciplines confondues que ce soient individuelles ou collectives, permettent aux acteurs participants de hisser les couleurs de leurs différents sur la scène internationale.

Malheureusement en Centrafrique, ce secteur a encore de nombreux défis à relever en ce qui concerne son épanouissement. Cela s’explique par le nombre insignifiant des infrastructures sportives qui ne répondent pas aux normes internationales et l’absence des édifices et locaux pour plusieurs autres disciplines sportives.

Ce qui n’a pas permis à la République centrafricaine d’abriter des grandes rencontres internationales, faute de dégradation avancée de ces bâtiments. Et en plus de cette dégradation, s’ajoute la mauvaise gestion de ces édifices par les personnes en charge de la gestion. Puisque tous les locaux qui devraient revenir de droit aux acteurs sportifs (vestiaires, dortoirs, bureaux des officiels, etc…) sont mis en location ou encore transformés en lieu de fabrique de glace ou bien des débits de boissons. Ce qui est un manque à gagner pour le développement des sports centrafricains, mais aussi pour l’Etat.

En outre, le sport en général, joue un rôle crucial en ce qui concerne la renommée d’un pays, car les athlètes qui prennent aux différentes compétitions internationales font parler de leurs pays et brandissent les couleurs de leurs Etats afin que le monde en prenne connaissance. Donc il est important que les autorités centrafricaines tiennent compte de cet aspect afin de redonner espoir au sport en général et aux athlètes en particulier.

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Bangui, le 16 août 2023—(Ndjoni Sango) : En vue de permettre aux athlètes de se conduire dans le respect des principes de l’art et de mieux préparer leur carrière sportive, la commission des athlètes du Comité National Olympique Sportif Centrafricain renforce les capacités des responsables des commissions des athlètes sur la bonne conduite. Le séminaire s’est déroulé du 10 au 11 août dans la salle de réunion du CNOSCA à Bangui en présence de plusieurs athlètes, représentant les différentes fédérations sportives.

Le sport est un facteur qui favorise la cohésion entre les personnes humaines et permet le développement intégré de quiconque le pratique. Et cela dépend de la manière dont les sportifs se comportent afin de mieux garantir leur avenir après la pratique du sport.

Et pour que les athlètes puissent savoir comment ils doivent se préparer à l’avenir, il leur faut des orientations. C’est pourquoi la commission des athlètes du Comité National Olympique Sportif Centrafricain a organisé un séminaire de renforcement des capacités des responsables athlètes pour qu’à leur tour, ils puissent initier leurs coéquipiers.

A en croire Rock Man Daniel Farel Samedi, président de la commission athlète au CNOSCA, l’objectif est de faire comprendre aux athlètes que le sport n’est pas seulement les muscles, mais aussi l’intelligence : « Nous avons initié cette formation afin de pousser les athlètes centrafricains à bien mener leurs activités sportives. Et depuis le 10 août plusieurs leaders athlètes représentant au moins 17 fédérations sportives ont pris part à cette formation afin qu’à leur tour, ils puissent instruire leurs coéquipiers. Les différentes thématiques que nous leur avons apprises tournent autour de la manière à laquelle ils doivent se comporter, comment ils peuvent garantir leur avenir après le sport et quel est le rôle de la commission des athlètes. Notre objectif est de pousser nos athlètes est de donner des voies et moyens à ces sportifs pour qu’ils puissent avoir une idée claire sur leur carrière », a-t-il défini.

Pour Tony Yaguémé, capitaine de la sélection nationale de volleyball, cette formation est un atout pour un avenir meilleur des sportifs : « Je suis très satisfait de ce séminaire de formation, car, ça m’a permis de savoir que le sport est un moyen de développement si on le fait bien. Et selon les différentes thématiques données, nous avons su comment un athlète peut faire une carrière et garantir son avenir à travers le sport, chose beaucoup d’entre nous ne maîtrisent pas encore. Donc après cette formation, nous allons revenir dans nos clubs respectifs pour essayer de relayer à nos coéquipiers afin que nous puissions émanciper et développer notre pays à travers le sport », a-t-il affirmé.

Ce séminaire de formation intervient après le constat fait que la plupart des sportifs centrafricains mènent une vie difficile à la fin de leur carrière faute d’orientation. Donc ce renforcement des capacités sanctionné par la remise de certificat aux participants est une occasion qui permettra à chaque sportif de faire une carrière professionnelle pendant et après la fin de sa carrière.

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Bangui 26 Mai 2023-(Ndjoni Sango) : Dans un point de presse qu’il a animé en son cabinet hier, le ministre de la jeunesse et des sports Aristide Briand REBOAS tout en faisant le point sur la mobilisation autour des fauves pour la qualification à la CAN 2023 a aussi tenu à informer les professionnels des médias sur la création du CONDEIMOS (comité national de développement des infrastructures sportives et des mouvements sportifs en RCA)

Afin de maximiser la chance des Athlètes et les sportifs nationaux afin qu’ils brillent sur la scène internationale, le ministre en charge de la jeunesse et des sports par un arrêté a créé un comité qui aura la charge d’élaborer des stratégies et de mettre en œuvre des actions dans le sens de soutenir les sportifs et de renforcer les infrastructures sportives de la RCA.

Dans le cadre de la qualification des fauves à la CAN 2023 qui est au centre des priorités du gouvernement, ce comité est déjà à pied d’œuvre et les centrafricains aussi mobilisés pour que les fauves aillent en Côte-d’Ivoire pour la CAN

« Le CONDEIMOS dont ses charges sont définies dans l’arrêté portant sa création travaille déjà dans le sens de la mobilisation citoyenne autour des fauves pour le match décisif contre l’Angola le 17 juin prochain à Douala au Cameroun. Les centrafricains d’ici comme d’ailleurs sont fortement mobilisés et notre objectif aujourd’hui est de capitaliser l’élan de solidarité autour des fauves pour que notre pays se qualifie pour une première fois à la CAN » a souligné Aristide Briand REBOAS.

En battant à deux reprises le Madagascar, les fauves de Bas-Oubangui avaient créé l’exploit et gagné 6 points qui les a bien positionnés dans leur poule avec la possibilité de se qualifier pour la première fois à une phase finale de la Coupe d’Afrique des Nations.

Et si une partie du travail a été faite, les centrafricains sont appelés à se mobiliser autour des fauves pour le match décisif contre l’Angola.

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Bangui 20 septembre 2022— (Ndjoni Sango): Plusieurs maux gangrènent le domaine des sports en République centrafricaine et bloquent son épanouissement. Pourtant, le sport est un facteur de la cohésion sociale et du vivre ensemble surtout pour un pays post-conflit comme le Centrafrique. A cela, le gouvernement compte pallier aux problèmes qui freinent son développement.

Les sports centrafricains connaissent ces derniers temps, des échecs sur plusieurs disciplines confondues. Ceci pour des raisons entre autres du manque de volonté politique et le comportement de certains acteurs, alors que le sport contribue efficacement au développement du pays. A cet effet, le gouvernement s’intéresse à ce domaine et compte remédier aux maux qui le gangrènent.

A cet effet, lors du conseil des ministres du 11 septembre dernier, plusieurs questions liées au domaine sportif ont été à l’ordre du jour. Selon Maxime Balalou, ministre chargé du secrétariat général du gouvernement, les échecs des sélections nationales proviennent des retards dans les sorties et le manque des infrastructures adéquates.

« Au cours des discussions, le conseil des ministres a pu noter les difficultés dans le cadre de la présentation des dossiers des compétitions de nos différentes équipes et a fait noter également, les conditions de préparation qui ne facilitent guère, des résultats probants et qui donnent à réfléchir sur la manière à laquelle nous allons organiser les compétitions sportives à l’international. Et après débat, le conseil a demandé qu’une réunion soit organisée regroupant le ministre chargé des finances et du budget, celui, chargé de la promotion de la jeunesse, des sports et de l’éducation civique ainsi que les présidents des fédérations sportives en vue de tirer au clair, la situation du sport en général dans notre pays », a-t-il précisé.

Cette question intervient suite aux multiples difficultés rencontrées par le sport centrafricain en général tant sur le plan national et international, lors des préparatifs, du décaissement des fonds, mais aussi le manque d’infrastructures sportives adéquates pour abriter les compétitions.

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Bangui 14 Mars 2022-(Ndjoni-Sango): Clôture le vendredi 11 mars à Bangui des travaux des états généraux des sports en République Centrafricaine. Une session de 3 jours ouverte pour permettre aux différents acteurs sportifs Centrafricains de discuter et trouver des pistes de solutions pour le développement des disciplines sportives en Centrafrique.

Les rideaux sont définitivement tombés sur les travaux des états généraux ouverts du mercredi 9 au Vendredi 11 Mars à Bangui. L’organisation de ces assises à l’initiative du gouvernement par le biais du ministère en charge de la jeunesse et des sports a permis aux participants représentant les diverses disciplines sportives en Centrafrique de sortir des recommandations fortes ayant pour impacts le développement des sports dans le pays et de tourner définitivement le dos aux maux qui gangrènent ce secteur. C’est sur une note de satisfaction que le président de la République, Faustin Archange Touadera, qui a présidé la cérémonie de clôture a félicité la tenue de ses assises :

« Je suis très content, nous avons initié cette assise pour trouver des maux qui gangrènent la marche des sports et aussi trouver des solutions. Le gouvernement va commencer pas à pas à apporter son soutien aux recommandations », a déclaré le chef de l’Etat qui a créé la surprise à la clôture de cette assise.

Même sentiment exprimé par le chef du département centrafricain en charge de la jeunesse et des sports, Aristide Briand REBOAS, pour qui ces assises sont une occasion pour le gouvernement d’action et de reforme de pratiquer une politique de rupture avec les vieilles pratiques.

Des fortes recommandations visant le développement des sports en général sont sorties des travaux des huit commissions après les exposés des responsables de différentes disciplines pendant ces assises : les participants n’attendent que la mise en œuvre de ces recommandations qui ont été remis au gouvernement:

« Je voudrais d’abord remercier les autorités, le chef de l’Etat en premier qui met la jeunesse et le sport parmi ces priorités et il l’a encore montré aujourd’hui. Nous avons pu passer en revue tout les problèmes liés aux sports en général. Nous ne souhaitons simplement que la voie qui a été tracer aujourd’hui puisse permettre a ce que toutes les disciplines sportives tous le soutien et les financements pour aller représenter le pays dans les échéances internationales » a martelé Célestin Yanendji, président de la Fédération centrafricaine de Football.

Ouvert le mercredi 9, les travaux des états généraux des sports en République Centrafricaine a prie fin le vendredi 11 mars à l’hémicycle de l’Assemblée nationale avec la participation de 25 entités sportive sur 29.

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Bangui 10 mars 2022-(Ndjoni Sango): Ouverture ce mercredi au palais de la CEMAC à Bangui des états généraux des sports en République Centrafricaine. Une session qui va permettre aux différents acteurs sportifs centrafricains de discuter et de trouver des solutions pour le développement des sports du pays.

La cérémonie d’ouverture des travaux de ces états généraux a été présidée par le Ministre chargé du secrétariat du gouvernement Maxime BALLALOU, en présence du ministre en charge de la jeunesse et des sports, Aristide Briand Reboas, et du secrétaire général de la Conférences des ministres de la Jeunesse et des sports de la Francophonie (CONFEJES), Louisette Renée Thobi, venue pour prendre part à ces assises.

L’organisation de ces assises à l’initiative du gouvernement par le ricochet du département de la jeunesse et des sports va permettre aux participants de trouver des pistes de solution pour le développement du sport en République centrafricaine qui connaît de grandes difficultés sur plusieurs formes.

Selon le ministre en charge du secrétariat du gouvernement, les conclusions de ces travaux doivent ressortirent des recommandations fortes pour permettre aux sports en général de se développer :

« Nous tenons a souligné que ces états généraux doivent offrir aux principaux acteurs de réfléchir sur l’état de notre sport et de donner l’occasion aux experts nationaux et internationaux de proposer de solutions possible dans le but de sortir ces activités du fond du gouffre ou elles se trouvent. J’ose espérer que les états généraux des sports en République Centrafricaine déboucheront sur des recommandations fortes accès sur tous les secteurs de sports voire toutes les innovations possibles pouvant être tenue afin de captiver l’attention des autorités politiques sportives sur tout le territoire national », a martelé dans son discours Maxime Ballalou

Ces états généraux ont ressemblé les différentes fédérations sportives, toutes disciplines confondues, afin de trouver des solutions aux maux qui gangrènent les secteurs du sport en RCA. Ces mêmes difficultés ont eux un impact négatif pour l’épanouissement des athlètes sur le plan national et international.

Les réponses à ces difficultés ne vont sortir que des travaux de ces assises pour permettre à la Centrafrique de revivre son passé de gloire, comme le souligne, Louisette Renée Thobi de la Secrétaire générale de CONFEJES, qui a apprécié la tenue de ces assises:

« Il est important que le mouvement sportif Centrafricain se rassemble pour jeter le jalon de ce nouveau réveil du sport centrafricain qui a eu un passé de gloire. Il est important que nous que nous retrouvions ce passé de gloire et que nous ayons confiance à l’avenir et à tous les acteurs qui seront prêt a accompagner cette décision »a-t-elle affirmé.

Ouverts le mercredi 9, les travaux des états généraux des sports en République Centrafricaine prendront fin le samedi 12 mars au Palais de la CEMAC à Bangui.

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Bangui 16 février 2022—(Ndjoni Sango): Les états généraux des sports se tiendront du 7 au 9 mars prochain en République centrafricaine. Une occasion pour les acteurs des différentes disciplines sportives de mettre en lumière tous les maux qui gangrènent ce milieu qui est un facteur de développement du pays. Mais il est un peu mis sur la marge des priorités. Alors, quels sont les enjeux de ces états généraux ?

La République centrafricaine compte une trentaine de fédérations de différentes disciplines sportives. Mais le domaine sportif du pays reste moins développé et connaît de nombreuses difficultés.

Ces difficultés sont entre et autres, la mauvaise gestion enregistrée du côté des garants, du manque de volonté politique en ce qui concerne la subvention à temps et sans contrainte, de chaque sortie de la sélection nationale des différentes disciplines sportives, l’absence et la dégradation des infrastructures, mais aussi la mauvaise prestation des athlètes lors des grandes compétitions.

Et pour faire la table-rase de tous ces différents maux, le ministère en charge de la promotion de la jeunesse et des sports entend organiser des états généraux afin de pouvoir mettre l’accent sur des points essentiels qui freinent le développement des sports en République centrafricaine.

A en croire certains Centrafricains, requérant l’anonymat, il y a trop de zones d’ombre dans le milieu sportif centrafricain et ces états généraux seront un pas vers l’avant : « Nos sports, en général, connaissent trop de difficultés. Ce qui provoque la régression excessive de nos différentes sélections en ce qui concerne les rencontres internationales. Et cela n’est pas le problème de nos autorités, alors qu’ailleurs, c’est le sport qui fait connaître ou développer un pays. Donc, si cette question des états généraux est avérée, nous aurons espoir que beaucoup de choses vont changer dans notre milieu sportif. Et cela pour toutes les disciplines, car la RCA a beaucoup souffert sur beaucoup de plans », ont-ils clamé.

L’organisation de ces états généraux des sports, prévus du 7 au 9 mars prochain, est placée sous le parrainage du Président de la République, Faustin Archange Touadera. Elle intervient au moment où le domaine sportif ne fait pas partie des priorités de la classe politique centrafricaine.

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Bangui 13 février 2022—(Ndjoni  Sango) : La sagesse impose que l’individu qui garde son corps dans les normes, vit en bonne santé. Il pratique la gymnastique qui met ses nerfs dans des conditions qui le sauvent. Le sport que bien de compatriotes pratiquent à tout instant, garde un sacré rôle ?

Les soirs, nuits et matins, nombreux sont les femmes, filles, garçons et hommes qui s’adonnent à ce qu’ils veulent pour se parer. D’aucuns vont à la course, au football, basketball, et mille autres alors. Cela est conseillé par la loi de la nature qui clame que l’esprit sain ne peut tenir que dans un corps sain.

Les bons élèves n’hésitent pas que cette instruction soit appliquée. Non seulement appliquée mais exécutée pour certains à des moments fixés. Les mauvais, quand on les voit acter dans ce sens ou ne le faisant nullement, perdent quelque chose. C’est dire que vivre,  tient de la nature humaine.

C’est ainsi que l’on se rend compte que des responsables politiques, dans leur grand ensemble, mettent tout en œuvre devant exciter leurs habitants à pratiquer pour un bonheur, on ne sait jamais. Le Sénégal qui après combien de temps va à la coupe d’Afrique des nations, remporte solennellement et fièrement ce trophée tant envié par le continent noir entier.

Cela fait rêver car des novices en la matière,  oseront faire le pas du diable. Et le sport pour lequel bien de citoyens n’osent pas se prononcer, prendra une autre allure. Cette pratique enseigne l’unanimité et fait ignorer bien de différences sociales. Tant un bon footballeur, basketteur, volleyeur ou autres, ramène à un non ignorance de tribalisme, régionalisme qui défigure les nations.

Que les Africains en général comprennent que maintenir le corps sain dans leur Etat, contribuera à leur plein essor, et la joie de l’ensemble s’en ressentira. Ne dit-on pas qu’un corps sain boostera l’économie sur le plan exponentiel ?

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Bangui 17 décembre 2021—(Ndjoni Sango) : Ces derniers temps, beaucoup de maux gangrènent le milieu sportif centrafricain et ceci dans plusieurs disciplines confondues, alors que ce sport connaît déjà assez de problèmes en termes de régression. Alors, que peut-on faire pour ramener de l’ordre dans ce milieu afin de pouvoir booster le sport centrafricain en général?

Le sport en général, joue un rôle très important dans le développement d’un pays. Car, il permet au monde d’avoir une idée sur les Etats où se développent les activités sportives, en plus, il unit le peuple en conflit.

En République centrafricaine, non seulement qu’il n’y a pas une bonne politique pour le développement du sport, parce que les infrastructures sportives manquent cruellement, mais il existe de réels malentendus entre les acteurs du sport dans le pays. Ce qui enfonce  davantage ce secteur vers le bas.

Aujourd’hui, des climats d’altercations, de bras de fer se créent entre le ministère en charge des sports et certaines fédérations sportives, y compris le comité qui gère ces fédérations (CNOSCA), après des différentes sorties pour les compétitions internationales, auxquelles, d’une part, le ministère demande des rapports financiers et d’autre part, les fédérations décrient l’ingérence du ministre dans leurs gestions.

Tous ces différends ont fait que les disciplines sportives ne donnent pas de bons résultats pendant ces rencontres internationales. Ce qui est un manque à gagner pour la République centrafricaine tout entière.

Le sport unit le peuple, comme on le dit toujours. Et pour le pays post-conflit comme la République centrafricaine, le sport doit être soutenu afin de permettre aux citoyens longtemps divisés de se réconcilier.

Donc, il est important que les autorités sportives mettent de côté leurs différends, et veillent sur la bonne marche du sport centrafricain.

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