Par Thomas KOSSI
Bangui 24 février 2021—(Ndjoni Sango) : Aujourd’hui, tout le monde tient à avoir un métier fixe. Des filles et des femmes de certaines villes en Afrique, ont eu, il y a longtemps, à créer un type de métier qui permettre de s’épanouir. La communauté en général, prend cet avantage au profit des créatrices de ce genre d’innovation ?
Partout en ces instants de grande libération nationale, on voit des filles et femmes se lever très tôt les matins pour aller au boulot. Il se trouve dans chaque habitation sinon une villa, où les occupants sont nombreux. Et si cela s’avère vrai, il faut du monde en grand nombre pour faire ceci ou cela.
Parce que, là où les gens montent en effectif, leur besoin s’accroît et y répondre, demande de la main-d’œuvre. C’est alors que les filles et femmes de chez nous ont vite trouvé ce palliatif qui les soutient à s’en sortir.
Ce qui reste à faire, c’est que les administrateurs de haut rang prennent leur ferme et résolue attribution à cerner la chose, comme un gain purement national, indépendant et personnel. L’autorité de l’Etat veillera à cette invention purement sociale, et exigera des tenants et aboutissants, la preuve incontestable de mise en route de créations d’emplois.
Tant, la vie en Afrique change selon que le temps passe. Ce que l’on ne voulait pas hier, en ces moments précis, il devient dur et fort, car la vie des humains dérange inexorablement. Tout vient vite, tout va mal.
Et c’est le vent de l’air qui souffle, puisque les aspirations devant permettre l’acquisition des biens de l’heure, ne peuvent s’expliquer. Faisons attention à ce que nous sommes capables de vouloir faire.
Le travail que nos sœurs et leurs mères ont pu créer, visons-là en sages pour le maintenir dans les nouveautés financières que l’Occident à installer parmi nous. Peut-être y voyions-nous de la « bêtise », il reste très sacré que l’on y attache quand même du prix.
L’Afrique ne peut que construire ce qu’elle aura conçu. Ne sera-ce pas notre rendez-vous de la civilisation de l’universel ?