Par Thomas KOSSI
Bangui 28 mars 2021—(Ndjoni Sango) : Les élections en Centrafrique, permettent aux ressortissants de beaucoup se former. Le peuple apprend au fur et à mesure qu’il suit les différents candidats se battre dans leurs thématiques diverses pour convaincre et vaincre. Le plus souvent alors, les plus doués s’en sortent aisément, ils auront pu réussir. Dans ce cas, à qui faut-il faire appel pour mener à bien ce que l’on veut et où l’on va dans une gouvernance qui interpelle le pays en entier ?
D’un moment à l’autre, l’on ne pensera que rempiler. Avec des responsables nationaux, l’on aura bataillé comme il faut. Tout le monde a tenté de faire le meilleur de lui-même, mais est-ce que cette tâche aura été menée comme il convient ? Sur dix comparses, peut-être moins de la moitié a œuvré comme on le pense car d’autres seraient passés à côté.
Il y a des humains capables de bien danser la danse ; d’autres manquent de pointure pour faire ce que l’on attend d’eux. Telle est la vie des vivants.
Entrer en politique veut dire que l’on n’est ni bête ni intelligent. Il faut plutôt avoir les deux choses à la fois. Car travailler politiquement, sous-entend que l’art doit vous habiter. L’on est capable de vaincre comme l’on est capable de décevoir. C’est pourquoi la politique est un art véritablement.
Mais encore faut-il savoir s’y prendre ! Tant, ceux qui souhaitent entrer d’un moment à l’autre dans le gouvernement que l’histoire s’apprête à créer pour accompagner le chef de l’Etat réélu, doivent faire de la RCA, non pas une activité génératrice de revenus, mais servir le peuple d’abord. Un gouvernement pèse lourd. Les charges qui sont les siennes sont multiples, et les seuls qui y entrent ne viennent pas par coup de chance seulement mais par conviction pour travailler copieusement.
La chose publique, renferme des spécialités à la portée de tous. Pourvu que la chance vous fasse recours. Les différentes possibilités qui nous servent en tant que serviteur de l’Etat, présentent la résultante nombreuse. Il y a la diplomatie, les finances, l’armée, la douane, l’éducation, la santé, l’agriculture, etc…
Nous nous arrêtons-là vu que la liste est exhaustive. La problématique qui mérite que l’on s’y arrête avant tout, c’est l’aptitude qui prouve la capacité du candidat que nous aurons aimé, qu’il œuvre pour le bien-être, la santé, l’instruction et autres choses que la communauté nationale attende avec ardeur.
De ce qui précède, donnons la vivacité à l’homme du 27 décembre 2020 à se valoriser, non seulement aux yeux des siens, mais encore, aux yeux de de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud, au Centre même.
C’est alors que la République centrafricaine, à travers cette haute personnalité, retrouvera la paix sans sottise, sa croissance et son développement solennels. Que les hommes soient nouveaux pour un F.A.Toudera nouveau dans une gouvernance nouvelle et objective.
