Par Thomas KOSSI
Bangui 4 juin 2021—(Ndjoni Sango) : L’intervention de la Fédération de la Russie dans le système de douane nationale leur cinq experts, a fait bouger le monde qui donne des appréciations pour la réforme dans l’administration centrafricaine. En quelques deux semaines de travail d’expertise, que dire pour ce genre de prestation ?
Quelles ont été les réactions de par le monde, pour cette réussite qui mérite que cela aille toujours dans le bon sens ? Vu que les actes posés par la Russie en Centrafrique, semblent satisfaire des cœurs d’une part ; d’autre part, ils font la joie extrême des autres qui y voient le début d’une chaîne de la malédiction sur le pays qui se déchaîne. Car le peuple s’attend tous à ce que sa vie minable, soit la meilleure sur la planète.
L’histoire ne manquera pas de revenir sur cette bienfaisance que certains partis déplorent pendant que d’autres chantent cette portée sociale.
Que cet exemple approuvé serve aux hommes du monde, que la vie passe trop vite. Mais encore faut-il que tout marche bien pour le bonheur du peuple centrafricain. Qui accepterait vivre dans la décombre des choses que des pires oiseaux nuisibles auraient becquetées ? Personne. Nullement personne.
C’est alors que nous faisons un vibrant appel à tous les autres services de l’Etat de copier servilement cette disposition, et, sans le vouloir, le bien-être des uns et autres s’améliora. La haute corruption sera renvoyée aux enfers où le petit Satan fera ses messes sordides.
Le complexe de supériorité et d’infériorité ne sera plus mis à contribution, tant les différents services doivent avoir de l’aile non pesante devant effectuer leur charge. La gabegie devra disparaître du circuit financier centrafricain devant laisser le soin aux fonctionnaires d’œuvrer honnêtement pour le bien de tous.
En un mot, plus que salutaire pour un pays comme la République centrafricaine, dégageons de notre espace, toutes les désinences en …ISME, qui bloquent la volonté libérée et l’engagement ouvert d’une nation à aller toujours de l’avant.
Avec ces termes progressifs et épanouissants, la violence sera lancée à notre propre côté. Et la paix véritable et sans conteste rejoindra notre béatitude qui chantera l’allégresse pour laquelle, du nord au sud, de l’est à l’ouest, les pauvres hères de Centrafrique trépigneront.
Posons tous pour la joie confortable, tant la réforme que nous proposent ceux qui accourent dans le sens de faire régner la quiétude partout et pour tous. Réfléchissons comme ceux-là mêmes qui aiment ce qui leur est propre et travaillent avec hargne en sa faveur.
