Par Thomas KOSSI
Bangui 24 juin 2021—(Ndjoni Sango) : Une forte joie qui anime le citoyen lambda, c’est la veine des femmes et hommes qui se jettent dans la manière de donner à manger à qui le veut dans les services hôteliers et de restauration. Seulement, cette consécration égaie- t-elle la clientèle comme elle le souhaite ?
En écoutant les concitoyens sortis à l’extérieur, RDC, Cameroun, Congo Brazza, Guinée Equatoriale, et plus loin que ces coins cités, leur intérêt se marque par des quartiers et zones qui se seraient distingués en voulant nourrir leurs congénères et la population de tout bord.
Ces bâtisseurs de l’empire auront appris comment faire pour ne point ridiculiser l’art de la cuisine. C’est pourquoi se battent-ils avec la vertu de pratiquer leur choix avec la capacité de bien faire. Surtout, en ce qui concerne l’hygiène du personnel. Ne sont-ce pas ces faits qui ont amenés les créateurs d’emplois en Centrafrique à déplorer cette manie dans le manque national ?
Il suffit de vouloir créer sans autant bénéficier des moyens convenables dont on dispose pour lancer une telle entreprise.
L’on ne devient pas professionnel si à partir de rien du tout on compte bâtir son propre pays. Ce dernier est vachement riche et chacun tient tirer son épingle du jeu. C’est pourquoi à Bangui, comme le taux va en avant en nombre d’habitants, l’on se réveille un matin et l’on se dit comme dans un rêve, je vais convier le monde à manger selon ma capacité. Quelle bonne idée !
Mais encore faut-il que l’on agisse en Centrafricain sérieux, citoyen et engagé. Tout avoir en moyens matériel et logistique et avoir des collaborateurs qui fassent preuve de personnels qualifiés. Car l’emplacement démotive une femme ou un homme qui a faim. Alors là, on ne sortira qu’une chose qui ne plait ni intéresse.
Or, la clientèle fera le bonheur de tous si chacun ne regarde que cet avantage dans le sens de la bonne réussite.
Cela rappelle que construire le chez soi en développement et croissance, exige bien des qualités exceptionnelles. Le monde demande de se battre pour créer une situation nouvelle. Se mettre en œuvre en hôtelier à la gomme, faillira à l’entité nationale.
Il faut être au contraire sûr de soi, pour que l’on réalise en effet, ce qui est grand et magistral dans le pays. Devenir des maisons à manger pour attirer celle ou celui qui a faim, sortira la RCA de ses faiblesses économiques et sociales.
je suis très intéressé par ces articles sur l’hôtellerie mais là je n’arrive pas à comprendre la quintessence de celui-ci.
j’ai comme impression que c’est sans tête, ni queue. je trouve aussi que les idées ne se suivent pas et ça prête à confusion aux lecteurs.