Par Thomas KOSSI
Bangui 28 septembre 2021—(Ndjoni Sango) : Les habitants du pays respirent très mal. Au jour le jour, les éléments de 3R et l’UPC, adhérés à la Coalition des patriotes pour le changement (CPC), continuent de tuer comme ils veulent. Que comprennent-ils par l’Accord de paix de 6 avril 2019?
Les ondes ne cessent d’informer que les citoyens d’arrière-pays souffrent. Cela remonte aux mercenaires de la CPC qui sont des vadrouilleurs de tout vent menés sans relâche. Ils sont devenus des pillards dont aucun chef ne peut les contrôler. Et quand on devient des chiens enragés, le seul remède qui peut convenir à votre cas, c’est de vous éliminer.
Les FACA et leurs alliés sont outillés pour la blessure mortelle à son heure. Le peuple s’attend à ce que ses protecteurs régaliens fassent la dure opération.
Mais que veulent ces bandits dont la réputation ne sert absolument à rien ? Sauf eux-mêmes sachent à quel saint ils vont prier pour leur pardonner le mauvais mal de leur vie. Tant, tous les recours ont été adoptés pour leur être tolérant. La main du chef de l’Etat leur a été ouverte depuis de longue durée.
Malheureusement, ils n’ont rien compris du tout. Parce que leur caboche est sensée être remplie de poudre de balle. Elle ne tourne que dans leur tête de chiot. Et comme ne comprenant rien du tout, ils font de n’importe quoi qui laisse entendre qu’ils n’ont que la mort définitive à subir. Et donc d’un moment à l’autre, tout le monde sifflera sans sifflet.
Les provinces vivent le calvaire en ces instants. A la Haye, ville où siège la Cour pénale internationale (CPI), le procès contre les bandits ayant sévis en Centrafrique bat son plein. Que l’on tue comme on veut. Le malheur sera un jour à l’ordre du jour et seule la vérité fera voir quand l’homme sera la véritable.
