Par Thomas KOSSI
Bangui 8 octobre 2021—(Ndjoni Sango) : Bien de choses bloquent le système éducatif pour le moment. Entre autres, les tests, assez réguliers pour les apprenants, et constituant la joie d’apprendre, semblent avoir disparus du circuit ? Pourquoi ?
Le bas âge est très propice pour mieux apprendre et garder aisément. Le colonisateur a noté cette belle audience pour inciter les enfants des autres, d’aller à l’école. Tout le plaisir y a été donné, et parents et responsables éducatifs, afin de faire inciter la tête des choses proches et lointaines.
A une époque rayonnante, cela a bien marché. Dommage aujourd’hui, personne ne pense ni ne suggère que ce rythme éloquent de cursus scolaire ne retrouve la vitalité d’antan.
Entre temps, l’institution de l’école est un phénomène grandiose. Les familles dont les enfants allaient à l’école, étaient très fières de manière inimaginable. Parce que, depuis que les Européens allaient créer cette innovation, comme par enchantement, les bénéficiaires en savaient la portée. Comme on le dit en Centrafrique, « le dépôt d’ordure nourrit celui qui l’exploite merveilleusement ».
L’école, un jour, devait les sortir du dénuement. C’est pourquoi mettaient-ils tout en œuvre pour un succès éclatant. Voila pourquoi les tests devaient-ils contribuer efficacement à asseoir une réussite parfaite. Cependant , qu’arrive-t-il que faire baver des collégiens, lycéens pour jauger de leur niveau, n’arrange personne ?
Pensons à ce marasme et voyons que tout ce qui n’est pas conforme à cette maladie stagnante, puisse disparaître de la voie de demain. Une belle et sûre formation fera des 623.000 km² une destinée agréable et enviable.
Son parcours laissera le droit chemin où les obstacles seront aplanis et invitera les voisins, les envieux, à imiter cet exemple hautement intelligents des mortels de Centrafrique. Les tests sont un passage obligé et y accorder le poids qui convient, fera de l’école le beau cadeau de l’école, legs de la colonisation qui flanche.
Ramener les tests pour renforcer les capacités de ce que l’Occident nous a apporté, témoignera du tonus que nous accordons au « Mbéti ». Il nous aidera à rattraper les pays riches qui essayent tant bien que mal de nous sortir de la triste pauvreté.