Par Thomas KOSSI
Bangui 4 novembre 2021- (Ndjoni Sango) : Après la crise militaro-politique dont les conséquences sont terribles en vies humaines ravagées, de nombreuses femmes sont abandonnées à elles-mêmes. C’est le cas par exemple de la ville de Bria. Dommage que la mort ne ramène jamais quelqu’un en vie ?
La gent féminine est considérable. Le sexe opposé au contraire, joue à un effectif trop inférieur. Mais que faire pour que la parité puisse se faire, et l’égalité entre hommes et femmes s’établisse ?
Car nous ne pourrons pas accepter qu’il y ait crise entre les deux sexes qui demandent une réconciliation nationale à échelle mondiale. Tout compte fait avec des millions d’euros et de dollars, car il n’est pas facile de ramener quelqu’un à de bon sens.
Pourquoi avoir déclenché cette pire atrocité qui a provoqué cet innombrable cas d’effacer la vie ? Et le plus souvent, définitive. Il est dit qu’il est trop facile de faire faire la guerre, mais l’arrêter coûte des tractations les plus lourdes. C’est pourquoi, que dire des étalons les plus costauds qui auront servis à dédramatiser la quête des compatriotes femelles qui n’attendent que ça pour la vie entière ?
Que le vilain esprit de prendre l’arme contre son voisin, même pour un rien, s’échappe de notre esprit, et que nous respections le monde comme le veut l’Être Suprême. Celui-là ne tient qu’à ça, vu que seule la compréhension, le vivre ensemble se partagent le pain, et les humains vivront dans la quiétude sublime.
Dans la capitale de la Haute-Kotto, voir les femmes à visage découvert pose problème. Et pourtant, elles sont physiquement là. La coutume arabo-africaine prévaut. La première l’emporte sur la seconde. Elle semble gouverner l’africaine qui croupit généralement sous le poids de la plus importante.
C’est alors que les porteuses de robe vont et viennent dans le parc. Il est simplement difficile de savoir que c’est une femme qui passe. Alors, que le courage guide chacun à penser à la situation de carence qui pourra se justifier un jour.
Les missions diverses dans ces zones veilleront à arranger le manque dont on parle avec égard, pourvu que des chauds lapins soient dépêchés pour servir le pays. Que le DDRR se fasse vite et que la paix revienne dans la nation pour une réorganisation de la nature humaine.