Par Thomas KOSSI
Bangui 8 février 2022—(Ndjoni Sango) : La dernière prime du personnel de la santé ces derniers temps, a fait du bruit dans la société. Beaucoup d’hommes en blouse ont quitté les hôpitaux pour l’argent, la recette que la Covid-19 a apportée. Le fallait-il ou ne le fallait-il pas ?
Depuis le mois de mars dernier, le phénomène coronavirus a mis tout le monde à genoux. Le ministère de la santé a usé de tout ce qui est à son pouvoir, appelant les uns et les autres collaborateurs, à donner la main au mal mortel. L’unanimité s’est affichée et les résultats sont ce que l’on se dise aujourd’hui.
Vu que le désastre semble mobilisé, le temps revient aux femmes et hommes, de percevoir ce que la communauté internationale a déployé comme contribution devant arrêter l’hémorragie. Cela veut dire que l’argent participait au danger. Toutefois, pourquoi cette compensation ne voulait pas être répartie aux soignants ?
Parce que les recettes produites par les humanitaires, la Banque mondiale, les bienfaiteurs, méritaient que les médecins, sages-femmes, infirmiers et tous les autres en profitent légalement.
Il y eut cependant des réticences. Pourquoi ? Or, les variantes OMICRON prennent le relais en ces temps-ci. Cela sous-entend que la participation de l’humanité est à venir. Les recettes d’il y a une certaine période se mettront encore en place.
Le partage, en ce qui concerne le personnel de la santé sera de mise. Que le mal du siècle échappe de notre planète ! Mais n’y aura-t-il pas encore quelque retenue à tendre la main et à gauche et à droite ?