Par Thomas KOSSI
Bangui 23 février 2022— (Ndjoni Sango): La situation de la France en Afrique, fait bouger le monde. Parce que sa présence dans la zone fait dire qu’elle est là, physiquement, mais absente, pour ce qu’elle devait faire sur le plan militaire. N’est-ce pas que les réflexions de cet habitant ci-dessus évoquée, corrobore les décisions mûrie de la Mère-Patrie ?
En combien de temps, l’Hexagone fouille et farfouille le Mali ? Bien avant les indépendances, puis à cette heure-là et en fin, la période de faire les valises maintenant. Tout ce temps prouve si la présence française est bénéfique si non, maléfique, pour la nation malienne.
Mais à entendre le citoyen lambda parler aussi sèchement, montre clairement que la politique de désordre a pris le pas sur l’ordre. Ce que le peuple attend et ne cesse d’attendre pour la république. C’est pourquoi, si le président Macron accepte s’en aller de ce pays tant massacré, une raison valable l’accompagne.
Même si c’est six mois de préparation minutieuse, laisse croire que la vérité cachée réside quelque part. Seulement, en politique française, tout est possible dans le sens de faire retourner la situation, même si les autochtones la trouvent passablement sale.
Ce qui met mal à l’aise, c’est la présence de l’extérieur que l’on n’accepte pas dans les relations diplomatiques françaises. Vu que la France tient demeurer la seule et unique PUISSANCE en tout domaine dans le pays. Mais est-ce possible ? C’est ainsi que la RCA et le Mali sont les apprenants récalcitrants du pré-carré du pays qui s’en va bientôt. Car l’on se trompe de la notion d’indépendance.
Elle veut dire obéissance absolue ou désobéissance selon la compréhension des indépendants ? Il y a vraiment de quoi réfléchir autour de ce thème avant de vouloir ou ne pas le vouloir, marcher avec cette puissance étrangère.
Au Mali, on parle sans vergogne. A tous ceux qui veulent partir, on leur dit, allez-y, comme si de rien n’était. N’est-ce pas une manière d’être sombre avec celui qui le réclame ?