Par Thomas KOSSI
Bangui 24 février 2022- (Ndjoni Sango) : Généralement, la police nationale est la vitrine d’un Etat. En ce qui concerne les étrangers qui arrivent de loin en RCA, le premier contact local c’est la police frontalière. Comme les gens sont de partout de par le monde, les langues sont largement différentes. Il faut alors des polyglottes. Les policiers locaux répondent-ils à tous ces critères ?
Tous ceux qui servent dans l’administration sous cette capote, sont les gens qui ouvrent les yeux sur le pays national. Quand on arrive de l’Occident, des Etats Unis, de la Chine, de l’Australie et de l’Afrique, on passe d’abord par la frontière.
Mais encore dans ce cas-là, il faut tomber sur quelqu’un qui réponde bien. Un citoyen qui sache parler le chinois, le français, l’anglais, le lingala, le portugais, le swahili et autres, devant mettre les nouveaux arrivants à l’aise. Cela compte beaucoup car le pays doit être valablement représenté en cas de besoin.
En réalité, tant que l’on arrive quelque part, chercher à connaître le coin, cela signifie que des hommes préparés dans ce sens veillent au grain. Et pour un Etat, la police nationale sert de première roue qui arrange tout.
C’est pourquoi, il est urgent de veiller à cette attitude que les gouvernants ont la préoccupation officielle de s’y adonner. Vu que dans l’univers, les polices de-ci, de-là, ont cette particularité de pourvoir à tout.
En RCA, si les autres sentiments bas ne s’y mêlent pas, des femmes et hommes des 623.000 km² peuvent faire tranquillement la tâche très délicate. Car aimer sa patrie, veut dire simplement que chacun prouve à suffisance comment l’on se bat socialement et physiquement pour elle. Par rapport à ses couleurs, le fils du pays donne son sang pour montrer comme on l’aime.
Tout doit être fait, en conséquence, pour le tenir debout, même devant Satan. Vraiment, donner son sang pour le pays, n’est-ce pas se sacrifier à fond pour l’aider à vivre en communauté ?