Par Arnold Ouessebanga
Bangui, le 10 mars 2023—(Ndjoni Sango). Depuis quelques temps, un réel sentiment de rejet et de contestation règne parmi la classe politique centrafricaine. Cette tension touche un peu le milieu où vivent, certains sympathisants et groupes de soutien aux partis politiques. Alors comment faire pour pacifier ce milieu, facteur de stabilité de la République centrafricaine ?
La République centrafricaine a longtemps souffert à cause de multiples conflits militaro-politiques ayant occasionné le déplacement par milliers, des personnes, des tueries et violences. Ceux-ci, à cause des antécédents politiques et des crises de confiance entre les hauts dignitaires du pays.
Après quelques années, le pays assiste à un retour progressif de la stabilité et une légère entente parmi la classe politique que ce soit de la majorité et de l’opposition. Ce qui avait apaisé la tension et permis au pays de reprendre son train de vie.
Mais depuis quelques temps, une tension se crée parmi la classe politique, impactant ainsi sur la stabilité sociale du pays. Cette stabilité se caractérise par les propagandes des discours de haine, des contestations des décisions prises de part et d’autre et plusieurs autres gestes, déterminant un climat de discorde.
Cela impacte sur la stabilité sociale parmi la population centrafricaine en divergence d’opinions et points de vue. Ce qui nécessite une pacification entre les acteurs politique, afin de favoriser l’épanouissement de la République centrafricaine.
Ce constat intervient au moment où République centrafricaine connaît une crise de confiance entre la classe politique, suite au projet de réécriture de la Constitution initiée par les autorités, mais rejetée par la Cour Constitutionnelle à l’époque de la présidente sortante Danièle Darlan qui était par la suite, admise en retraite.
