Par Marly Pala
Bangui 25 septembre 2023—(Ndjoni Sango). En vue de toucher les couches sociales centrafricaines à s’informer sur ses domaines d’activité et à éviter certains risques qui entourent les humains, le projet Capital humain et autonomisation des femmes et filles (Maïngo), sensibilise les professionnels de média, artistes et autres acteurs de la société civile sur les sur les mesures de gestion des risques et impacts environnementaux. Cette sensibilisation a été menée à travers un atelier de formation tenu dans la salle de réunion du Complexe sportif 20.000 places à Bangui.
La République centrafricaine a longtemps été secouée par des multiples crises sécuritaires ayant impacté sur plusieurs domaines. Et par la suite, plusieurs personnes ont été vulnérables, notamment les femmes et les filles, en un mot des personnes en position de faiblesse. Et pour pallier à ces défis qui gangrènent la société centrafricaine, plusieurs actions ont été initiées par de différentes organisations et associations œuvrant dans ce domaine.
C’est pour cette raison que le projet Maïngo à travers son domaine d’action sur le Capital humain et autonomisation des femmes et filles, veut toucher toutes les couches sociales centrafricaines sur les activités qu’il va mener pour éradiquer ces risques environnementaux.
A en croire Irène Sabendo, coordonnatrice du projet Maïngo, ces différentes rencontres visent à mettre en œuvre des actions que doivent mener ces différents acteurs visant les mesures de gestion des risques et impacts environnementaux : « Ce projet couvre plusieurs composantes et domaines d’intervention et secteurs. Donc il est important que les différentes organisations qui œuvrent dans divers domaines puissent se manifester afin que nous puissions voir dans quelles mesures, nous pouvons travailler avec eux. C’est la raison de ces différentes rencontres sollicitées par les responsables de ces organisations ici présents. Car, il est prévu dans la mise en œuvre ce projet d’utiliser et de travailler avec les ONG, parce qu’elles sont avec la communauté et connaissent mieux leurs problèmes. Et donc le travaillera avec ces dernières comme prévu dans ces champs d’activités afin que ces différentes organisations locales définissent leurs lignes d’activité afin d’accompagner le projet dans la mise en œuvre des activités qui seront menées en République centrafricaine », a-t-elle expliqué.
Ce projet Capital humain et autonomisation des femmes et filles (Maïngo), intervient au moment où la République centrafricaine fait face à un taux élevé des risques et impacts environnementaux. Sa mise en œuvre s’avère nécessaire pour l’atténuation de ces multiples défis de l’heure.