Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui, 31 octobre 2O23 –(Ndjoni Sango) : En vue de préserver des forêts tropicales et la biodiversité contre le changement climatique aigu dans les prochaines années, les chefs d’Etat Africains s’engagent à prendre des mesures qui s’imposent pour protéger et préserver les écosystèmes des activités aggravées de l’homme.
En contre-coup, l’Afrique reste et demeure un continent où la déforestation est beaucoup plus pratiquée. Cette activité de manière anarchique contribue à la destruction massive des écosystèmes et expose l’homme à vivre un changement climatique sans précédent. Tout le monde est sensé sans savoir que l’abattage des arbres prend une allure aussi effrayante et la problématique de reboisement reste un moyen efficace mais mésestimer.
Ayant compris que la domination de l’homme sur la biosphère risque d’abimer si vite la couche d’ozone d’ici 5O années, ainsi il importe de protéger cette mince couche protectrice de l’humanité par des mesures drastiques susceptibles de réduire la fréquence de la déforestation en Afrique
II parait judicieux de rappeler que les activités agro industries et les exploitations des ressources minières contribuent inexorablement au changement climatique. A cette occasion il appartient à chaque Etat de drainer des informations de sa politique de lutte pour la protection et la préservation des écosystèmes afin que l’Afrique réunie dans une entente puisse combattre efficacement le changement climatique.
Par ailleurs certains pays d’Afrique disposant d’importantes superficies des forêts doivent s’aligner à cette politique afin de garantir l’avenir de la jeunesse.
