Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui 23 avril 2024 –(Ndjoni Sango) : Comme un secteur qui génère des revenus de nombreux Centrafricains sont de plus en plus attirés par les commerces des péniches. Ces bateaux, après beaucoup d’années sur l’eau, deviennent fragiles susceptible d’exposer la vie des passagers en dangers. A cette occasion les autorités sont appelées à les contrôler pour se rassurer de leur efficacité.
Si les ces commerces des baleinières intéressent les Centrafricains ceux-ci doivent se faire dans le strict respect des lois régissant les transports en République Centrafricains. Mais force est de constater que le laisser-aller engendre les surcharges qui sont les causes profondes de naufrages à répétition ces deniers temps.
Tel qu’arrivé le 19 avril dernier une baleinière avec 300 personnes à bords est vraiment surprenant et soulève la question de défaillance du système de transport en Centrafrique. Ce drame avec un bilan affreux soulève des interrogations et interpelle la vigilance des autorités.
Si des contrôles sur ces baleinières se font de manière régulière, c’est une stratégies très pratique et très subtile pour réduire les risques des naufrages et garantir la vie des citoyens Centrafricains. II faut signaler que le système curateur est une mauvaise politique dont les conséquences sont dramatiques.
A cet effet, mieux vaut prévenir que guérir a dit un adage. Donc une mesure de prévention permettra d’éviter le pire et réveiller la conscience de nombreux Centrafricains très actifs dans ces commerces des baleinières.
Par ailleurs les autorités sont appelées à règlementer le secteur à travers une sensibilisation pour recadrer la pensée des propriétaires des baleinières et susciter un changement de mentalité pour un bon fonctionnement du secteur des transports en République Centrafricaine.