Par Juste MBANGO
Bangui 1er octobre 2024—(Ndjoni Sango): La République centrafricaine est un pays fortement confronté aux difficultés des routes, mettant à mal le réel développement qui devrait s’opérer par les infrastructures routières. L’arrivée au pouvoir du président Archange Touadera a apporté un changement dans le domaine des infrastructures routières qui se développent petit à petit.
«Le développement d’un pays passe par la construction des routes », ce dicton trouve son sens dans la vision politique du Président Faustin Archange Touadera qui ne ménage aucun effort pour mettre en œuvre les grands projets de la construction des infrastructures routières du pays.
Les routes de la République centrafricaine sont construites depuis l’époque coloniale. La plupart de ces routes se trouvent dans un état de dégradation avancée. Elles sont devenues impraticables pour la plupart rendant ainsi la vie difficile à la population dans ses activités.
Il est difficile de joindre les villes du pays à la capitale afin d’évacuer les produits agricoles. Par ailleurs, cette situation rend également difficile les opérations de l’armée dans les régions reculées du pays.
C’est en cela que le président Touadera qui se rend compte de cette souffrance de la population, a tout mis œuvre pour pouvoir développement les voies de communication du pays. Sachant que c’est la route qui mène vers le développement d’un pays, le chef de l’Etat mobilise les partenaires afin de soutenir le programme de la construction des routes en République centrafricaine.
C’est pourquoi, aujourd’hui, de Bangui la capitale aux différentes régions du pays, plusieurs chantiers de la construction et la réhabilitation des routes sont visibles. A Bangui, les routes se développent prenant l’allure des routes modernes.
Le grand projet de la construction de corridor 13 reliant la République centrafricaine au Congo, et Tchad est une parfaite illustration du développement des routes dans le pays sous l’ère Touadera.
