Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui 19 février – (Ndjoni Sango): Alors que la République Centrafricaine dispose d’immenses potentialités des terres arables très fertiles pouvant favoriser le développement de l’agriculture pour nourrir toute la population. Cependant les attaques des bandits et les dérèglements restent les facteurs majeurs qui enfreignent les travaux agricoles soulevant ainsi le pourquoi de l’insécurité alimentaire dans certaines régions de ladite localité.
En effet, rien ne laisse présager que le peuple Centrafricain ne peut pas avoir accès de manière régulière à des aliments sains et nutritifs en quantité suffisants en dépit des richesses naturelles du pays.
II est à noter que l’agriculture est toujours en construction dans le pays et, au jour d’aujourd’hui perturbée non seulement par les attaques des groupes armés mais aussi du manque accru des équipements agricoles modernes.
Le secteur agricole connait un faible rendement dans certaines régions de la République Centrafricaine du fait du manque des travaux champêtres susceptible d’occasionner de l’insécurité alimentaire.
A en croire un habitant de Bouar, la RCA est dotée des espaces cultivables qui sont sous exploités et nécessite des solutions innovantes en vue de booster ledit secteur.
« Les attaques des groupes armés ont un impact négatif sur les travaux agricoles dans le pays. De nombreuses régions connaissent un rendement faible conséquence non seulement des agressions de ces derniers mais aussi des aléas climatiques. Les habitants de certaines villes des provinces souffrent alors qu’ils ne vivent que des travaux agricoles et, faces aux agissements des rebelles ils sont affaiblis pour présenter un rendement faible pendant la récole. Je pense que ce sont des facteurs qui entravent les travaux agricoles et nécessite l’appui du gouvernement à booster le secteur en vue de combattre l’insécurité alimentaire », a –t-il lancé
II convient de signaler que l’agriculture demeure et reste une priorité. Néanmoins elle reste embryonnaire dans ledit secteur par manque des équipements agricoles appropriés.