Par Mamadou NGAINAM
Bangui 10 avril 2025—(Ndjoni Sango) : La marche de fiasco organisée par l’opposition le vendredi 4 avril 2025, a été une autre occasion pour elle de tromper la vigilance du peuple centrafricain une nouvelle fois. Les propos injurieux, des mensonges grossiers et des diffamations à l’endroit du président Touadera ont été les discours prononcés par les leaders du BRDC à tour de rôle.
Contrairement à ce que racontent les leaders de l’opposition réunis dans le Bloc Républicain pour la Défense de la Constitution (BRDC), le projet d’un éventuel 3ème mandat n’est pas du tout un souhait du président Faustin Archange Touadera, mais plutôt la volonté manifeste du peuple Centrafricain.
Cependant, l’opposition qui n’a pas d’une autre cartouche à jouer pour se présenter aux élections présidentielles du décembre 2025, se lance dans les campagnes de dénigrement, des allégations contre le président Touadera alors que ce dernier se concentre sur l’accomplissement et la réalisation des projets en faveur de son peuple.
Un manifestant avoue avoir été déçu d’avoir pris part à cette manifestation qui était un non-évènement pour le peuple souverain.
« J’ai été convié à cette mobilisation par l’entremise d’un ami pensant que ces leaders avaient des projets concret à nous présenter alors qu’ils se sont lancés dans la lutte contre la volonté du peuple souverain à propos de la nouvelle constitution du 30 août 2023, et la demande du peuple pour réclamer une nouvelle fois la candidature du président Faustin Archange Touadera », a témoigné l’un des manifestants.
Il a par la suite appelé les jeunes à ne pas suivre les leaders du BRDC dans ces échecs ni céder à sa manipulation.
« Je suis surpris et dessus que ces hommes politiques sont toujours dans cette logique et je crains également le sort de certains jeunes qu’ils manipulent à travers cette désinformation qui ne dit pas son nom. Ils doivent changer de stratégie et de politique au lieu de défendre une cause injuste qui n’est autre chose que de faire le bras de fer à ce même peuple qu’ils souhaiteraient diriger », a-t-il ajouté.
Les réformes référendaires du 30 août 2023, ont été sollicitées par le peuple souverain qui se plaignaient de la caducité de la constitution du 30 mars 2016 qui selon lui les textes et les lois sont déjà caduques et ne reflétaient pas les réalités de l’heure.
Il y a eu une période de campagne référendaire où certains opposants ont également battu compagne pour le NON contre ce projet de loi, dont le OUI du peuple a fini par triompher avec une victoire écrasante.
