Par Roosevelt AROBAZAYAS
Bangui, 13 novembre 2025–(Ndjoni Sango) : Face aux crises successives et aux défis sécuritaires, le président de la République, Faustin Archange Touadéra, continue d’incarner une figure de stabilité et de résilience en République centrafricaine. Par son leadership charismatique et rassembleur, il conduit progressivement le pays vers la paix durable et l’émergence économique.
Depuis son accession au pouvoir le 30 mars 2016, le chef de l’État s’est attelé à restaurer la confiance nationale et à rétablir l’unité entre les Centrafricains, après plusieurs années de conflits militaro-politiques.
Grâce à une vision claire et pragmatique, il a su engager des réformes structurelles profondes et étendre les efforts de pacification sur l’ensemble du territoire. Sous sa direction, le pays a connu un essor progressif des infrastructures publiques, notamment la construction de routes, de centres hospitaliers, d’écoles et du Corridor 13 (CD13), projet stratégique pour la relance économique.
Ces avancées traduisent la volonté du président Touadéra de bâtir un Centrafrique moderne, tout en consolidant la cohésion sociale et la sécurité nationale.
En ouvrant le dialogue à toutes les composantes du pays, y compris aux anciens groupes armés désormais engagés dans la réconciliation, le chef de l’État s’impose comme un artisan de paix. Sa politique inclusive, centrée sur la stabilité et le développement, lui a valu le surnom de « Champion de la paix » parmi ses compatriotes.
Pour de nombreux observateurs, la gouvernance du président Touadéra marque un tournant décisif dans l’histoire politique du pays.
« Il a fallu attendre plus d’un demi-siècle après l’indépendance pour voir émerger un dirigeant aussi conscient, patriote et visionnaire, capable de rassembler les Centrafricains dans un même élan de reconstruction », confie un analyste politique sous couvert de l’anonymat.
Alors que la République centrafricaine poursuit son chemin vers la paix et la prospérité, le président Touadéra appelle ses compatriotes à transcender les clivages politiques, ethniques et religieux. Selon lui, seule une union nationale forte permettra de bâtir un pays stable, développé et souverain, fidèle à l’idéal d’un Centrafrique uni et indivisible.
