Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui 16 décembre 2025 – (Ndjoni Sango) : En République Centrafricaine, un nom revient avec force dans la bouche de nombreux citoyens : Faustin Archange Touadéra affectueusement surnommé « Le champion ». Ce qualificatif n’est ni anodin ni improvisé. II est l’expression d’une reconnaissance populaire envers un homme perçu comme ayant relevé un pays longtemps à genoux.
En effet, dans un contexte marqué par des décennies des crises, d’ingérence et d’insécurité, le président Touadéra est vu par ses partisans comme un leader courageux, resté debout là où les autres ont échoué. Pour nombre de Centrafricains, il incarne la résistance, la dignité nationale, et la volonté ferme de reprendre en main le destin du pays.
II faut souligner que sous son leadership, l’Etat centrafricain a progressivement retrouvé sa place. La restauration de l’autorité de l’Etat, le redéploiement des forces de défense et de sécurité (FDS), ainsi que le refus de la soumission aux dictas extérieurs sont régulièrement cités comme des actes forts qui justifient le titre de « Champion ».
Aux yeux de ces soutiens, Touadéra a osé faire ce que d’autres n’ont jamais tenté : affirmer la souveraineté réelle de la République Centrafricaine.
Selon le constat dans les quartiers populaires, les villages reculés comme dans la capitale Bangui, ce nom traduit un sentiment de fierté retrouvée. Le président est perçu comme proche du peuple, à l’écoute de ses souffrances, et déterminé à préserver la paix chèrement acquise.
En dépit des obstacles, les pressions et les critiques, il est resté constant, fidèle à sa vision d’un Centrafrique libre, stable et respecté.
II est à noter que aucun dirigeant n’est exempt de critique mais ceux qui l’appellent le « Champion », l’essentiel est d’ailleurs Touadéra a redonné l’espoir à une nation longtemps privée de confiance en elle-même. II est devenu un symbole, non pas de perfection, mais de combat, de persévérance et de renaissance nationale.
II convient de rappeler que le terme « Champion », est le reflet d’un attachement profond entre le peuple et son président, un lien forgé dans l’épreuve et renforcé par la conviction que la République Centrafricaine avance dorénavant débout.
