Par Thomas KOSSI
Bangui 18 mai 2021-(Ndjoni Sango) : Une situation qui mérite que l’on y réfléchisse, vaille l’esclavage dont les enfants en souffrent pour le moment. Parce que, l’Etat comme les foyers, se posent cette problématique.
Que dire si les enfants comme leurs parents peinent. La différence que l’homme ne peut que se poser, provient du fait qu’esclavager l’avenir de Centrafrique, qu’est-ce que ça donne ?
Et pourtant, parler de l’enfant, veut autant dire, faire une projection quant à l’avenir du pays. Le malheur, dont nous recherchons le fondement, laisse les parents dans la misère quand ils apprennent que leurs progénitures souffrent comme eux-mêmes.
Dire que les enfants ne peuvent souffrir si les parents propres les utilisent dans la tâche que l’on qualifie de difficile. La fille ou le garçon qui ne respecte personne, comment ne pas la/le corriger s’il le faut ?
Tant, ne pas apprendre aux fruits de ses entrailles à manquer du cran pour l’aîné, équivaut à la salade que l’on mette partout pour dire, fais ce qui te semble bon ! Tant, aucun parent d’ici-bas, n’approuvera qu’il soit mouillé comme une saleté de la cuisine des porcs. Tout le monde est d’avis qu’éduquer un enfant, nécessite une grosse participation de la communauté qui s’y emploie le mieux.
Envoyer son garçon n’a rien à voir si l’on le faisait gémir. Il est prévu que ce qui sort de l’être humain, doit nécessairement le servir s’il le faut. Nulle part, que les mauvaise langues ne disent point, ce père-ci, cette mère-là, blessent leur enfant dont le soin ne leur aura pas échappé. Ceux-ci se seront mis à jour pour montrer à quel degré ils aiment ce qui est leur.
Alors, qu’ils fassent l’impossible qu’on les voie partout travailler avec ce qui est un bien propre pour les ascendants.