Par Thomas KOSSI
Bangui 21 août 2021—(Ndjoni Sango) : Les écoliers de Gobongo garçons dans le 4ème arrondissement de Bangui, obtiennent leurs carnets scolaires les jeudi 19 dernier pour l’école A et vendredi 20 août pour la section B. Lesquels enfants profiteront de peu de temps de pause, mais qu’en sera-t-il pour les parents aux enfants à la tête de linotte ?
L’année académique durant, la presse s’est employée à sasser et ressasser nombre de travers des femmes et hommes ayant opté pour ce travail de la nation. Mais à l’heure de la trêve des éduqués, les parents, premiers éducateurs, ont leur part de responsabilité. Car il y a lieu de voir qu’est ce qui ne va pas en ce qui concerne le système éducatif dans le pays.
Maintes épreuves s’alignent pour ses compatriotes dont le nombre des enfants préoccupent l’Etat à leur apprendre bien de choses. La plupart du temps, ces filles et garçons, dont pour certains pères et mères le nombre est écrasant, se mettront en face de leur charge initiale, auront maille à fournir en nourrissant leur petit monde. Ce qu’il faut voir en premier lieu, c’est de penser déjà à la rentrée nouvelle.
Les difficultés seront énormes, bien d’enfants passent en classe supérieure ou la redoublent. Et penser fermement à trouver du neuf pour ce monde, sera le fer ultra chaud que des tuteurs, propriétaires, le grand monde de la large famille africaine aura comme une massue suspendue sur la tête. Ces états de choses méritent qu’il faille en trouver solution.
Les familles à Bangui auront à changer de membres, tant les cousins, oncles de l’arrière-pays enverront leurs progénitures à la capitale. Raison de plus car, non seulement on pense à les nourrir, mais plus encore, l’on pensera à les éduquer.
La sécurité et l’éducation semblent croiser leur lit, elles sont dignement comparables. Cela fait voir une bouche de plus à prendre en charge en mettant en éveil, le mental. La vie de la jeunesse à ce qu’il semble en notre époque, n’est point si simple à ce que l’on ose croire à la minute.
Doit-on se demander pourquoi vivre ? Il sera une idiotie de ne pas y croire. Tant, affronter la vie telle qu’on la prend aujourd’hui, grandit l’être. Et c’est en l’affrontant vis-à-vis que l’homme est tout à fait égal à lui-même. Combattons le cauchemar avec les armes extra sophistiquées, et nous dépasserons ce qui entrave le système de l’éducation de notre avenir.