Par Marly Pala
Bangui 26 septembre 2021—(Ndjoni Sango) : Plusieurs cas de dégradation des rues et routes sont enregistrés ces derniers temps, après des grandes pluies qui s’abattent incessamment sur la ville de Bangui et ses périphéries. Ces dégradation et inondations qui occasionnent par ailleurs l’écroulement de plusieurs maisons, sont les conséquences de manque de l’urbanisation certains secteurs de la capitale.
La République centrafricaine traverse en ce moment, la période de la saison pluvieuse. Et durant cette saison, les pluies diluviennes tombent fréquemment et créent des inondations surtout dans les zones riveraines et les secteurs non-urbanisés. C’est le cas actuel pour la plupart des quartiers de la capitale, ses périphéries et les villes intérieures du pays.
Ces derniers temps, si on essaie de faire le tour des quatre coins de la ville de Bangui, on constate avec amertume l’état de dégradation avancée, des routes depuis les grandes avenues jusqu’aux ruelles, impactant ainsi sur la circulation des personnes et des biens. Car, ces voies dégradées provoquent trop souvent des accidents.
Du côté des secteurs non-assainis, c’est le désastre, car, à défaut de canalisation, les eaux qui coulent, fabriquent elles-mêmes leurs lits et causent des dégâts dans les quartiers à savoir, l’écroulement des maisons et plusieurs autres dommages.
Malgré les travaux d’assainissement réalisés dans certains secteurs, la plupart des quartiers de la République centrafricaine connaissent encore d’énormes difficultés en termes de décentralisation, ce qui représente un danger pour la population.
Ce constat intervient après que les cas d’accidents de circulation routière deviennent récurrents, suite à l’état de dégradation avancée des routes en Centrafrique, faute d’assainissement. Si les hautes autorités pensent à ces difficultés et en trouvent une solution idoine, le pays attirera davantage d’investisseurs.
Vous ne savez pas ? La génocidaire france et ses alliés ainsi que ses esclaves, les analphabètes terroristes de cpc veulent nous voir dans cette situation en créant des conditions de freinage de tout élan de développement à travers des guerres civiles. En effet, avec ces sales guerres, nos autorités (non les infiltrés francafricains) légitimes et légales sont obligés d’orienter et de privilégier les dépenses militaires versus les dépenses de développement. C’est méchant, les sales jeu de la génocidaire france. Il est temps que nous l’écrasons définitivement avec l’appui de l’hyperpuissance Russie. Vive la coopération Russie/Centrafrique.