Par Thomas KOSSI
Bangui 18 février 2022—(Ndjoni Sango): Le départ des militaires français du Mali fait une bouée d’attaques et de contre-attaques. Les autorités malienne et française se parlent vertement. Que dire si les sociétés nationales s’en prennent vertement dans les positions de part et d’autres ?
Bien de citoyens qui font l’actualité, se prononcent nettement sur la France et la politique qu’elle pratique dans le monde. Nombre d’africains estiment qu’ils n’ont rien à déplorer vis-à-vis des hommes qui dirigent la France.
Ils s’élèvent, tout au contraire, contre la manière qui détériore comment la nation de chez nous détestent leur engagement. C’est alors que le départ de l’armée française est une attente pour le malien qui s’en réjouit.
Et comme la RCA a servi d’exemple pour entrer dans l’affaire malienne, celle-ci permet au premier pays de se juger selon les problèmes de l’heure.
Cela veut simplement dire que la diversification des relations diplomatiques par des vieilles républiques colonisées arrivées à l’autonomisation dégrade maintenant.
Ce genre de se prononcer en politique pour enrayer les problématiques nationales, décourage et font avoir d’autres idées qui s’imposent. Car, en tant que vieux protecteur de la RCA, l’Hexagone ne pourrait qu’encourager à faire davantage, il se met diplomatiquement en mal. L’on comprend trop bien que les Français se disent être mis à l’écart par cette prise de position de défense, alors qu’ils sont sans doute ceux qui peuvent faire, si non la pluie ou maladroitement le beau temps dans le coin.
Pendant combien de jours sur les radios nationale et internationale, continuera-t-on à faire allusion du départ du Mali des vieux maîtres ? N’est-ce pas que l’on tient que le prochain pays ne se déclenche ?
Ce n’est que de la politique française. Attendons de voir et tout reviendra dans les normes. Tant, comment faire pour transformer comment faire cette bonne politique qui aura soudé les pays en leur début ?