Par Arnold Ouessebanga
Bangui, le 26 avril 2023—(Ndjoni Sango). La République centrafricaine connaît en ce moment une progression en matière de stabilité et de développement. Ceci, après de nombreuses années de tractations dues aux multiples crises sécuritaires. Mais ce progrès si l’on constate, engendre de nombreuses agitations de la part de l’Occident.
Pendant près de trois décennies, la République centrafricaine fait face à de multiples crises sécuritaires sans précédent, provoquées par le conflit militaro-politique. Ces crises interminables avaient bloqué le développement du pays sur plusieurs secteurs.
Et progressivement, ce pays commence peu à peu à sortir la tête du lot, malgré la fermeture de robinet de la communauté internationale sur certains domaines. Aujourd’hui, on peut affirmer la libre circulation des personnes et biens, le déploiement des forces de défense et sécurité dans la plupart des localités du pays et la construction et réhabilitation des routes et bâtiments administratifs.
Mais force est de constater que ces différentes réalisations, expliquant la progression du pays vers l’avant, n’arrangent pas certains Etats de l’Occident. Cela se définit à travers des agitations par exemple, l’arrêt de financement de certains projets en Centrafrique, la reconduction de l’embargo sur les armes à destination Centrafrique, des menaces de sanction et plusieurs autres formes d’intimidations, visant à fragiliser le progrès.
Il convient de souligner que la République centrafricaine a longtemps souffert à cause des crises sécuritaires provoquées par des conflits armés et aussi de la bénédiction de ceux qui veulent en profiter pour pêcher en eaux troubles. Mais si aujourd’hui, les centrafricains ont repris conscience et veulent bâtir leur pays, il faut que les esprits malins cessent de s’agiter et apprécient juste les actions.
