Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui 12 octobre 2023 –(Ndjoni Sango): De nombreuses filles en République Centrafricaine, sous l’emprise de leurs parents, ne parviennent pas être scolarisées et très souvent, sont proposées au mariage précoce voire l’excision. C’est une situation qui doit emmener le gouvernement à des actions de lutter contre ces obstacles qui bafouent les droits des jeunes filles dans le pays.
S’il s’avère que la femme est la source de la multiplication de l’humanité et du développement humain, les filles n’en demeurent pas moins dans ce processus et constituent une branche phare dans le projet de développement d’une nation.
Aujourd’hui et non par hasard les autorités doivent faire des droits des filles son cheval de bataille pour permettre à ces derniers de jouir de ces privilèges pour se faire valoir dans la société dans laquelle elles vivent.
L’implication des autorités dans la lutte contre les violences faites aux femmes et en particulier aux filles est une supériorité majeure pour combattre les adversités enfreignant le développement des filles en République Centrafricaine. A cette occasion l’investissement dans les droits des filles provoquerait la scolarisation massive de ces derniers dans la vision d’un développement durable pour un avenir meilleur.
II nécessite de dire que la scolarité des filles reste un défi majeur et pour ce faire les autorités doivent prêter une attention particulière pour promouvoir l’autonomisation des filles et le respect de leurs droits.
Par ailleurs le gouvernement est appelé à garantir les droits des filles dans tous les objectifs afin de parvenir à la justice et à l’implication et à des épargnes qui fonctionnent pour tout le monde.