Par Alfred RONYS YEMETCHIPA
Bangui 3 septembre 2024 –(Ndjoni Sango ): Depuis les événements malheureux de 2013, de nombreuses femmes vivent dans la situation vulnérable. Une situation si vite décelée par le gouvernement et ses partenaires qui investissent dans la formation professionnelle et dans les différents domaines de l’entrepreneuriat en vue de leur offrir une ouverture pour leur implication dans le processus de développement. Ainsi, la mise en contribution des femmes Centrafricaines est un vecteur pour le développement durable.
Comme on peut le remarquer ces dernières années, le gouvernement met un accent particulier sur l’entrepreneuriat, l’éducation et la formation professionnelle de la femme. C’est une préoccupation pour former les femmes Centrafricaines et les mettre contribution dans les programmes de développement pour que le pays puisse se relever.
Selon toute évidence, le métier est un moyen sûr permettant à chacun de participer d’une manière ou d’une autre au développement du pays. Le manque d’un métier constitue un frein à l’indépendance de la femme pour prétendre à un développement concret comme la République Centrafricaine qui a connu autant de crises.
Le métier donne une valeur ajoutée aux actions de la femme en vue de les écarter de la dépendance. Comme le souligne le proverbe chinois « Donner du pain à quelqu’un, il ne se nourrira qu’un jour. Apprendre à pêcher, il se nourrira toute sa vie ».
Pour aider le pays à sortir de la vulnérabilité, la formation des femmes Centrafricaines dans l’entrepreneuriat s’avère importante pour booster leurs capacités à relever les défis de l’heure.
II faut souligner que les efforts consentis des autorités pour former les femmes centrafricaines permettront d’éviter les éternelles assistances en vue d’avoir un impact positif et favorise l’implication de tout le monde dans le mécanisme de développement durable dans le pays.