Par Arnold Ouessebanga
Bangui 23 octobre 2025—(Ndjoni Sango). La République centrafricaine retrouve progressivement sa place dans le concert des nations après plusieurs périodes d’instabilité liée aux crises militaro-politiques l’ayant fragilisée. Mais grâce aujourd’hui à une diplomatie agissante mise en place par les autorités centrafricaines, ce pays commence à être convoité par des investisseurs internationaux venus de tous les coins du monde.
Après des décennies, asphyxiée par les conflits militaro-politiques, ne favorisant pas la mise à la main aux poches des investisseurs, la République centrafricaine est en train de vivre des moments brillants de son histoire. Cela se caractérise par la présence massive des investisseurs qui se changent du jour au lendemain sur le sol centrafricain.
Et si ce pays est aujourd’hui tant convoité par des expatriés, c’est suite à une diplomatie efficiente mise en place par les autorités centrafricaines afin de rendre une vie meilleure aux populations qui attendent jouir des atouts de leur pays, comme constatent plusieurs individus.
« Nous n’avons pas cru que notre pays allait très vite être apprécié et devenu un terrain où tout le monde veut y dérouler les compétitions. Car, nous avons connu le pire pendant des années de crise sécuritaire dans lesquelles, des familles se sont déchirées et que les conflits armés font rage, ne favorisant la venue des investisseurs au développement. Mais grâce au retour à l’ordre constitutionnel et l’accession à la magistrature suprême du Président Faustin Archange Touadera qui, par la suite a pris à ses côtés, des hommes et femmes de mener à bien la politique de développement, notre pays retrouve très vite sa place dans le concert des nations. Nous en sommes fiers et même si plusieurs choses restent à faire, mais grâce à ce mécanisme, nous espérons que notre pays va graver des échelons », constatent plusieurs personnes dont José Bangué, un étudiant en Droit à l’Université de Bangui.
Ce constat fait à un récapitulatif des conventions, des accords de coopération et de promesse d’installation des grands chantiers par des investisseurs, fait par plusieurs centrafricains après neuf années de gouvernance des autorités actuelles de la République centrafricaine.





































