Par Marly Pala
Bangui 12 novembre 2020—(Ndjoni Sango). La capitale centrafricaine abrite depuis le 7 jusqu’au 14 novembre prochain, la première édition du festival de film dénommé « Bangui fait son cinéma ». Depuis le lancement dudit festival le samedi 7 novembre dernier au Complexe Scolaire International Galaxy, des personnes viennent de tous les coins de Bangui pour assister à cet évènement qui est le premier du genre dans le pays. Ce qui est une satisfaction pour la population banguissoise.
La République centrafricaine abrite depuis le samedi 7 novembre, la première édition du festival international des films africains et afro-descendants, ceci, jusqu’au 14 du mois de novembre.
Pendant ces moments, de nombreux films, longs et courts métrages et documentaires produits par les cinéastes africains, centrafricains et européens ont été projetés pour répondre aux attentes des fils et filles du pays qui viennent de tous les coins de la capitale découvrir les talents de leurs compatriotes mais aussi de savourer les bons moments, riches en conseils et paroles drôles de l’artiste comédien ivoirien Michel Gohou, parrain de ce premier festival.
Une réjouissance pour certains participants à cette première édition du cinéma qui demandent que des pareilles initiatives voient le jour en Centrafrique :
« Nous sommes très contents de savoir à travers ces différentes projections, que la Centrafrique n’est pas restée en marge du monde en ce qui concerne la production des films. Et quand nous avons appris que Gohou est venu à Bangui, nous ne pouvons pas rester à la maison pour que les autres viennent nous raconter. C’est pourquoi nous sommes venus vivre ces moments de nos propres yeux. Vraiment, nous sommes satisfaits », soupirent-ils.
Signalons que cette première édition de Bangui fait son cinéma qui s’est déroulé le 7 novembre et qui prendra fin le 14 du même mois. Il a vu la participation de plusieurs autorités du pays et celle des citoyens de Bangui et ses périphéries, mais aussi de ceux de l’arrière-pays et de la diaspora, venus pour la circonstance.