Par Erick NGABA
Bangui 21 janvier 2021—(Ndjoni Sango) : Le premier Secrétaire Général du Mouvement ITA, Dominique YANDOCKA, adresse ses plus vives félicitations au président centrafricain réélu Faustin Archange Touadera. Dans sa lettre, il l’exhorte à unir toutes les forces vives de la nation autour des principes républicains.
Après la proclamation des résultats définitifs de la présidentielle par la Cour constitutionnelle ayant fait de Touadera vainqueur du scrutin de 27 décembre 2020, les mots de félicitations fusent de partout.
Ainsi, dans sa lettre, le mouvement dénommé Initiative pour la transformation par action (ITA) adresse ses félicitations au président réélu. Le mouvement par la voix de premier Secrétaire Général exhorte le président de la République à réunir tout le peuple centrafricain.
« Une nouvelle page de notre histoire vient de s’ouvrir. J’aimerais à cet effet m’adresser à vous, Monsieur le Président, en ces termes : le défi sécuritaire reste entier, et quand le Centrafrique se divise ce n’est pas le Centrafrique, et quand le Centrafrique a peur, ce n’est non plus le Centrafrique. Il y a une ambition plus forte que tout, c’est l’amour de la patrie. C’est pourquoi, je vous exhorte, Monsieur le Président, qu’il n’y a pas de temps à perdre pour unir toutes les forces vives de la nation autour des principes Républicains », adresse Dominique Yandocka, leader du mouvement ITA.
De l’avis du mouvement, le président réélu doit tendre la main à tout le monde pour la reconstruction et la paix.
« Jamais, le dialogue entre filles et fils d’un même pays n’est source de malheur. Cependant, le manque de dialogue affaiblie le sens du patriotisme dont on a besoin aujourd’hui pour le combat de la libération de notre pays des mains des hors la loi et des envahisseurs ».
Le mouvement souhaite que président de la République place son second mandat sur le chemin du rétablissement de la sécurité, de la légitimité et de l’autorité de l’État sur toute l’étendue du territoire, du défi économique et social, de la lutte contre la pauvreté, de l’exclusion, du fléau de la corruption, et enfin de la justice.