Par Thomas KOSSI
Bangui 26 février 2021—(Ndjoni Sango): Quand le chef de l’Etat Touadera a déclaré que le pays est en guerre, ses dires ne sont pas un coup d’épée dans la rivière Oubangui. Le fait aussi malheureux que le peuple supporte, laisse croire que cette hostilité se terminera comme les guerroyeurs auraient pensé ?
Cette pandémie dont l’ex chef d’Etat centrafricain Bozizé et les siens ont ouvert la vanne, mènerait le pays jusqu’où ? Car les journaux et autre mass média ont élevé une terrible voix de rage, quant à ce massacre que l’on imposait encore aux Centrafricains.
Ceux-ci ont tant souffert, vu que les morts de la population en femmes, enfants, hommes, ces partants du sol natal, resteront sous la terre sans être comptabilisés. Et bien vite, on se met encore à les sacrifier.
Mais attention, lorsque chaque jour, chaque nuit, on égorge, on vient une matinée à dire vertement : « Est-ce que l’on ne peut pas arrêter de tuer l’homme comme un mouton » ?
C’est la rage qui anime en ces jours-ci la planète qui se dit de ne pas admettre le fléau que subissent tout un pays, tous ses habitants. La gent féminine, les moins âgés, les plus avancés dans la vie, tous les êtres vivants disent communément non à la mort gratuite qui les traque.
Aujourd’hui, l’univers reste et demeure ouvert au peuple de Centrafrique que l’on foule aux pieds. L’Indonésie, la Chine, l’Allemagne et autres, si elles pouvaient venir au secours du mouroir des 623.000 km², la paix en tant que telle redonnera aux peuples du monde entier, la sacrée PAIX.
Dieu merci, des voix sonores et claires s’élèvent toujours de partout, pour dire à la guerre et les belligérants, de vouloir mettre un terme à leur invention sinistre qui souille le visage de la terre. Celle-ci qui tiendra sans fin son prestige, fera de tout son poids, afin que les Hommes vivent et survivent tant qu’elle le leur permettra.