Par Thomas KOSSI
Bangui 4 mai 2021—(Ndjoni Sango): Le monde bouge à tout moment. De Bangui vers l’intérieur et de l’arrière-pays vers la capitale, l’on semble comprendre que la paix se met petit à petit en place. Les FACA, que le pays criait qu’elles soient renforcées, reprennent leur élan, et protègent comme le veut la population. Que dire de mieux de la diplomatie usées par le pouvoir en place ?
Les braves hommes et femmes qui luttent pour la survie de leurs concitoyens, ont eu du mal à se forger une nature. Des pires dangers les avaient secoués et le marasme les pliait comme des roseaux. Ils sont restés et demeurés cependant ces protecteurs que l’empire use pour ses desseins grandioses.
Aujourd’hui, leur éclat fleurisse et leur force de guerriers s’envole. Et la population en est superbement fière parce qu’elle se sent protégée légalement. Par son armée, l’unique et la sienne.
Il est vrai que partout en République centrafricaine, de gros efforts restent à déployer. Mais du moment que la main a déjà été mise à sac, tout sera balayé et ce que les 623.000 km² exigeaient, sera aplani. La pleine gloire d’antan reviendra au bercail, femmes, enfants et hommes auront la joie de jouir de leur liberté retrouvée et reconquise.
Les mauvais penchants seront les déçus les plus irritants, car l’avenir qu’ils préconisaient, sera un détour dont ils s’en souviendront le plus longtemps possible, amèrement.
Qu’on le veuille ou non, la paix est, reste et demeure toujours perturbée. On déclare la guerre mais, mille ans plus tard, ces guerroyeurs se retrouvent et sèment une paix incontournable sinon, inviolable. C’est pourquoi, il est dit quelque part « qui aime la paix prépare la guerre ».
Aïe vraiment, merci mingui aux FACA et et leurs excellents alliés russes et rwandais. Q’ils continuent dans ce sens jusqu’à l’écrasement total de la francafrique au Centrafrique. Nika ala na i.