Par Thomas KOSSI
Bangui 26 septembre 2021—(Ndjoni Sango): La situation de la République centrafricaine qui, après soixante une années d’indépendance, se réjouit aujourd’hui de 11% de taux de réussite au baccalauréat, laisse inquiet. Et de surcroît, le pays en général, festoyant cet échec-réussite, fait encore grincer les dents. Va-t-on continuer à entretenir cet empoisonnement déplorable qui noircit l’intégrité nationale ?
Peut-être n’aurions-nous jamais consulté les taux de réussite du début. Toutefois, chaque année se fait avec des particularités spécifiques. Mais en pleine lutte pour le développement intégral, un tel pourcentage se présente sous les yeux de tous, cela fait crier. Tant des questions viennent de partout pour chercher à savoir pourquoi des résultats si pauvres ?
Bon, nous savons que ce qui arrive ne peut étonner personne tant les difficultés que connaît la parcelle attaquée est pérenne. Cela n’empêche que les hauts dignitaires se battent par 100 fois pour juguler le contrevent. L’aura-t-on fait pour briser le manque total du précédent régime ?
Le gouvernement pour lequel on se bat, jour et nuit, a bien des limites. Quand on a les soins qui siéent à ses flagrances, le peuple s’en ressent assez aisément. Le contraire, fait plutôt couler de bons mot et salive.
C’est alors que les examens qui constituent un paramètre non négligeable du développement et de la croissance, ont à se mettre en valeur devant faire éviter la colère, l’intolérance et le désaveu de la grande masse. Car tout est pris en compte par elle qui se voit refléter en tout. Et donc gouverner vaut bel et bien prévoir.
L’attention se veut cette interpellation qui peut favoriser bien d’égards quant au phénomène qui arrive. Les conditions les plus extrêmes ont été évitées de justesse et les apprenants se battent pour le moment. Du Fondamental I au Fondamental II, les Examens et Concours se seront déroulés correctement.
Quels en seront les résultats définitifs, pour le Secondaire général dans le premier diplôme d’entrée dans le supérieur ? Les uns et les autres s’attendent à la réalité qui fera le bonheur des enseignants de l’ère politique d’intégration qui fait la joie de tous pour le moment.
Que cela se perpétue et la RCA sera l’entrée obligée de la porte au Paradis. Pas de 11% d’il y a, tant la possibilité de mieux faire se prépare et les lauréats, indéfinis aujourd’hui !
Nous ne sommes pas obligés de continuer dans ce système scolaire colonial et médiocre. Nous pouvons introduire un nouveau système scolaire se basant de ce qui se passe en Chine ou la Russie ou en Afrique du Sud. Mais pour se faire, il faut que tous les analphabètes et esclaves terroristes de cpc et leur médiocres maîtres et pédophiles barbouzes français qui polluent le territoire centrafricain soient complètement nettoyés par nos FACA et leurs alliés !