Par Prince Wilfried NZAPAOKO
Bangui 11 janvier 2022—(Ndjoni Sango): La connaissance des textes et lois centrafricains demeure une grande préoccupation pour les nationaux, en ce sens que peu de Centrafricains maîtrise les lois du pays. Que peuvent faire les autorités compétentes à pousser les Centrafricains à se préoccuper de ces documents qui s’avèrent nécessaires pour la citoyenneté?
La connaissance des textes à l’exemple de la constitution du pays est l’un des devoirs civiques de la nation centrafricaine à l’exemple du vote. Bon nombre de la population centrafricaine ignore l’existence des textes de lois dans ce pays si bien qu’elle commet par l’ignorance des actes qui vont à l’encontre de ces obligations.
Selon les constats faits, ceux qui maitrisent les lois centrafricaines sont comptés au bout de doigt. Il y’a plus précisément des cadres intellectuels qui pour postuler à une candidature sont obligés de prendre connaissance de ces textes.
Plusieurs catégories de personnes ignorent l’existence des documents relatifs à la bonne marche du pays. Pour certains, le fait qu’ils ne sont pas aux affaires de l’Etat, ces articles de la constitution ne les concernent pas parce qu’ils ne voient pas l’utilité. Pour d’autres, ils sont obligés d’apprendre ces conduites à tenir parce que c’est dans leur avantage et non par la volonté citoyenne.
Combien de Centrafricains s’intéressent-ils encore aux textes de de leur pays? Les dirigeants doivent faire une sensibilisation afin que les lois en vigueur soient enseignées dans des écoles, les Universités et même afficher partout où besoin sera.
Des affiches avec les détails de la Constitution avec les articles pour que chaque société puisse en prendre connaissance afin d’éviter toute peine.