Par Thomas KOSSI
Bangui 22 janvier 2022—(Ndjoni Sango) : Bien de choses sont à déplorer au ministère de l’enseignement. Le citoyen lambda, au jour le jour, se plaint de la mauvaise manière avec laquelle cette structure semble mener. Des fonctionnaires en la matière y travaillent-ils pour le renouveau de Zo Kwè Zo?
La problématique est soulevée, vu que d’énormes scandales sont à relever pour les enfants appelés à nous remplacer demain. Les parents, dans leur ensemble, sont unanimes pour affirmer : « Rien ne va pour l’Education que l’on donne à la progéniture dont leur charge pèse sur nous. La volonté que l’on attend de ceux-là qui doivent se battre dans ce sens, est tout à fait nulle. Car, en les attendant dire ce qu’ils sont, le compatriote qui écoute cela, se casse la tête. Alors qu’en réalité, il y a plein de faux diplômes à brandir là-bas ».
Ailleurs, un autre groupe saute sur l’occasion pour claironner : « Le ministère de l’éducation nationale ne compte que de faux compagnons. Beaucoup sont là parce que l’argent que l’on exploite pour l’instruction, des ravisseurs en bénéficient amplement.
L’on semble comprendre que l’argent que l’on met pour ceci et cela pour les gosses, personne ne s’en soucie. Et pourtant, ce qui est pour l’Etat, ne passe pas qu’il manque de contrôle un de ces quatre jours.
Trop de voix s’élèvent pour assombrir le système éducatif dans le secteur national. Personne n’est dupe que demain, des intellectuels d’autres horizons viennent nous former mentalement. N’est-ce pas que les cas des Maîtres-parents explosent pour l’irrégularité de la pédagogie engagée en République centrafricaine ?
Malheureusement qu’on les ignore au lieu de leur tirer la ficelle de leur nez devant leur soutirer le peu dont certains ont pu en bénéficier. Que penser de la grammaire qui ne vole que dans la main des ignares ?