Par Thomas KOSSI
Bangui 28 janvier 2022—(Ndjoni Sango) : La vente des dames au bord des routes, fait souvent pitié. L’ensemble alimentaire manque, à ce qu’il semble, de moindre hygiène. Et pourtant, ce qui est exposé est à la portée des preneurs qui en ont besoin. Seulement, peut-on avoir confiance en tout ?
Le long des routes que l’on traverse à Bangui, renferme bien de produits alimentaires. Les variétés découlent de ce repas dont n’importe qui peut se nourrir aisément. A moins que la poche ne soit pas trouée. Mais le malaise qui saute à l’œil, c’est la manière avec laquelle on étale ce qui renforce les forces des gens.
Du poisson frais, des poulets, de la salade, etc, tout cela est exposé sans qu’un bout de tissu blanc ne couvre quelque part qui chasse les mouches. Elles y viennent à chaque instant sans qu’une main humaine ne les dégage de là. C’est alors que ces bestioles font tout ce qu’il leur passe par la tête.
Le malheur cependant, c’est que celui qui a faim et qui veut manger, tombe dessus et en raffole comme bon lui semble. Tant une vérité qui blesse, c’est de se passer de la famine qui le pousse à y mettre un terme. Donc, la préoccupation qui le nargue, c’est de manger vite et de ne plus avoir cette gêne.
Le manque de ce sentiment de propreté qui doit amener tout un chacun à respecter cette consigne, a sa valeur. Celle-ci est importante et conduit la société à se plier sous son effet, car manger sain dans un corps sain, est une vertu qu’aucun mortel ne peut oublier ni ne pas admettre. Chacun doit appliquer le poids nécessaire et sa crainte comme principe cardinale, sauvera la communauté humaine.
Un corps sain dans une vie saine, laisse le mourant que nous sommes à vivre bien longtemps. C’est pourquoi, appliquer l’hygiène a le sens de secourir l’être vivant qui mourra, bien sûr !