Par Juste MBANGO
Bangui 29 janvier 2022—(Ndjoni Sango) : Cette semaine, des articles sont parus dans les médias internationaux dans lesquels, une fois de plus, on voit une vaine tentative d’accuser les FAСA et leurs alliés de crimes graves.
Ces médias font état d’une opération contre le groupe UPC dans la ville de Bria, au cours de laquelle 30 civils ont été blessés. Cependant, pour une raison quelconque, les données médiatiques ne tiennent pas compte du fait que les membres du groupe UPC ont publié un communiqué le 31 décembre 2021, dans lequel ils annoncent la dissolution du groupe. En conséquence, à partir de ce jour, l’UPC a cessé d’exister.
On assiste à une tentative de mener une guerre d’information pour dissimuler des bandits, et nous sommes témoins de la mise en circulation de fausses informations juste après la disparition de l’UPC.
Ces fausses nouvelles ont été lancées par l’Agence France Presse. Le texte dont ils sont les auteurs est littéralement reproduit par d’autres médias français, parmi lesquels figurent Media part, Ouest-France, RFI, la Croix.
Dans cet article, nous voyons les méthodes utilisées précédemment pour mener une guerre d’information. L’agence se réfère à nouveau à des « sources anonymes des FACA et de l’ONU« , sans fournir aucune preuve des faits qui se sont produits, mais interprétant la situation comme si la situation avait eu lieu.
Actuellement, grâce aux efforts des FACA et de leurs alliés, poursuivant une politique de « zéro impunité« , la plupart des rebelles qui ont pris les armes pour tenter de renverser le gouvernement légitime du pays ont fui la République centrafricaine pour Tchad, où leurs dirigeants tentent de rassembler des mercenaires pour tenter d’attaquer les zones frontalières de la RCA et se doter d’un minimum de moyens de subsistance.