Par Marly Pala
Bangui, le 26 avril 2023—(Ndjoni Sango). La bonne pratique du sport nécessite un environnement favorable aux athlètes, c’est-à-dire, les infrastructures adéquates. Mais en Centrafrique, de nombreuses disciplines sportives connaissent de régression à cause de manque d’endroits où, pratiquer le sport. Comment s’en sortir ?
Plusieurs disciplines sportives sont pratiquées en République centrafricaine, mais encore en état précaire faute d’absence des infrastructures adéquates, favorisant la bonne pratique. Malgré que le pays participe à maintes reprises aux grands tournois internationaux, le déficit d’endroits pour la pratique de certaines disciplines sportives, se fait sentir.
Ce qui a impacté négativement sur les sélections nationales tant en sport individuel et collectif. A titre d’exemple, le basketball qui est un sport roi des centrafricains n’a que deux lieux à savoir Centre National de Basketball Martin Ngoko, en état de dégradation avancée et impraticable et le Palais de l’omnisport aussi dégradé, mais transformé en lieux d’activités commerciales par l’Onasports ; et le football qui se voit ses stades suspendus pour des rencontres internationales.
Tous ces différents facteurs ont fait que les athlètes épris de volonté de pratiquer le sport de haut niveau, se sont parfois découragés. Ce qui est un manque à gagner pour le pays, pourtant le sport est un vecteur de développement et fait souvent parlé d’un Etat à l’échelle mondiale.
En outre, le sport contribue efficacement au développement du pays. Donc il revient aux dirigeants et aux acteurs du sport de prendre à bras le corps, ce phénomène de déficit d’infrastructures sportives afin de donner espoir aux désireux du sport d’aller de l’avant.
