Par Marly Pala
Bangui 5 janvier 2024—(Ndjoni Sango): Les différentes fêtes de fin d’année se sont passées dans presque toute l’étendue de la République centrafricaine à travers des différentes manifestations. Ce qui a impacté sur la reprise des activités malgré que celles-ci doivent en principe, reprendre le 3 janvier selon le calendrier des institutions. Ce qui est un manque à gagner pour l’Etat.
Habituellement dans tous les calendriers administratifs, les activités professionnelles reprennent aussitôt, le lendemain ou deux jours après la célébration de la fête du nouvel an. Ceci afin de permettre un jour de repos pour des gens qui s’activent afin de reprendre les différentes activités quotidiennes pour faire avancer le pays.
Mais en République centrafricaine, le constat est amer, si on essaie de faire le tour des administrations publiques, on se rend compte d’une timidité totale des activités faute d’absence du personnel sur les différents lieux de travail.
Ce constat se fait aussi dans les établissements scolaires publics d’une part, par l’absence des enseignants et d’autre part de celle des élèves. Ce qui freine le développement socioéconomique de la République centrafricaine.
Ce constat intervient après un tour fait dans certaines administrations publiques de la capitale dans lesquelles, les activités tournent au ralenti et que l’on peut compter les fonctionnaires et agents de l’Etat du bout des doigts.