Par Thomas KOSSI
Bangui 12 mai 2021—(Ndjoni Sango) : Les voies qui viennent de partout, parlent en bons termes de ce qui se passe dans le pays. Les efforts que les protecteurs du peuple déploient face aux ennemis, laissent une étape notoire de gloire.
A un temps donné, le chef de l’Etat a parlé de situation de guerre dans le pays. Il tenait mener ce combat jusqu’à la fin. Les hommes dont il était le chef suprême, faisaient leur métier en compagnie des instructeurs de la Russie. Leur compétence laissait voir qu’ils avaient à ne pas décourager le chef suprême des armées.
Comme la CPC avait ouvert le bal, d’abord à Bangui et par la suite, un peu partout à l’intérieur de Centrafrique en déclenchant les hostilités, les hommes en treillis du terroir s’y mêlèrent avec leur bravoure sans faille. Avec l’aide des alliés, ils combattent comme des soldats de Prusse qui donnèrent toute la flamme à leur société de base. C’est alors que la Coalition des patriotes pour le changement(CPC), se voit aujourd’hui prendre la fuite comme des petits singes en débandade.
N’est-ce pas que faire voir ses propres talons à son adversaire, signifie que la faiblesse aura établi sa maison chez vous et que vous demandiez la paix tout court ? Telle est la situation désastreuse de la CPC en ce moment en République centrafricaine.
Cela veut dire que la bonne paix que les filles et hommes réclament, on l’a certainement, vu que les belligérants d’hier sont complètement mouillés. On les déculotte au fur et à mesure et leur petit feu de gloire s’envole très loin d’eux. Ces malheureux va-t’en guerrene montrent que le visage d’un être mourant à petit feu. Les compatriotes de l’arrière-pays retrouvent petit à petit la grande soif de jouir de leur liberté reconquise par leur armée nationale, que d’aucuns traitaient de bras cassé.
La sécurisation de Centrafrique, que les forces invisibles souhaitent faire régner tristement, les démoralise en ces temps-ci, car la volonté que certaines communautés internationales entretiennent, est loin de faire vivre de guerre que de voir faire vivre dans la joie légitime.
