Par Thomas KOSSI
Bangui 13 juillet 2021—(Ndjoni Sango) : Le passé s’en va sans emporter avec lui ce qui marque les esprits. Le RMI et la RDOT des FACA d’alors, font bouillonner encore dans notre mémoire leurs hauts-faits. L’on cherche à savoir ce que seraient devenus ces deux corps de l’armée nationale.
L’Etat, si on le pense bien, garde toujours sa supériorité. Les aventures, les mésaventures qui traversent notre environnement, nous les gardons au fond du penchant qui vit en chacun des citoyens. Seulement, il est un peu difficile d’oublier ce que les Centrafricains font dans leur cœur par rapport aux autres. Le temps qui court est bien dur. Cependant, l’on fait de son mieux pour subvenir à la peine des uns et autres.
A l’époque des RMI et RDOT, qui pourrait laisser comprendre que la paix régnait à 100% ? L’insécurité avait toujours pignon sur rue. Et de ce fait, les remarquables gouvernants de cette saison, ayant la tête sur le cou, ont mûri des multiples idées de sauver le pays, en faisant les acrobaties du chevreau devant arrêter l’hémorragie. Est-ce que leurs tentatives n’ont pas abouti comme le souhaitaient les congénères contemporains ?
Les RMI et RDOT se sont donnés la grande tâche de se battre en gardiens régaliens. Ils étaient à l’œuvre et le peuple s’est rendu compte de leur volonté farouche de défendre leur propre pays. Un pays à eux tous. Parce que leur passage laissait comprendre aux compatriotes, vos militaires passent. Et trop fiers, ces jeunes gens s’en allaient encore plus hardis que le paon dans sa basse-cour. Nous-mêmes, nous félicitions de cette marque de soldat avoué.
N’est-ce pas que des noms téméraires sifflotent encore dans les rangs de cette FACA nationale et dévouée ? Il est mieux de savoir qui choisissait le métier des armes ?
Parce que les soldats de cette armée centrafricaine étaient des sbires accomplis. Le métier s’ouvrait à eux comme un don très chèrement acquis. Tant ils le voulaient, ils l’ont eu et ils devaient en vendre le prix de manière coûteuse. Ces militaires ne reculaient devant rien du tout. Leur bravoure pour s’attaquer aux pires ennemis, intimidait le dangereux monstre qui ne faisait preuve que de se replier devant n’importe quel obstacle.
Que faire que les âmes de ces guerriers reviennent au pays et que la République renaisse de ses cendres. Et donc, que cette chaleur rétablisse pour que les FACA de défense, se mette en place, afin que la belle tranquillité revive dans le berceau de B. BOGANDA.
Totalement incompréhensible avec des phrases qui n’ont ni queue ni tête!!!