Par Prince Wilfried NZAPAOKO
Bangui 21 octobre 2021—(Ndjoni Sango): Les transports en commun favorisent le déplacement de certains élèves et étudiants dans leurs lieux d’apprentissage. Dans la circulation, malheureusement, les mauvais conducteurs commettent beaucoup de bavures car les surcharges et la méconnaissance de code de conduite entrainent des cas d’accident routier.
A l’heure de pointe dans les stationnements de la place, les gens attendent les mototaxis, bus ou encore taxis pour se rendre à leurs courses diverses. On constate que la circulation est vraiment saturée à cause des embouteillages qui empêchent la libre circulation.
Parmi cette catégorie de personnes qui attendent les moyens de transports pour se rendre à leurs diverses occupations, il y a également des écoliers, collégiens et lycéens qui sont aussi dans l’attente de ces moyens roulants pour se rendre à l’école et à la faculté. Pourtant il n y a pas de crise de carburant pour que ces conducteurs de mototaxis puissent faire de surcharge. Et même si c’est le cas, la raison n’est pas du tout fondée.
Ces conducteurs d’engins à 2 roues , font des surcharges en transportant plus de 3 personnes derrière leurs motocyclettes en passant devant les forces de l’ordre qui sont sensés veiller sur ces genres de choses. Ils ont à le faire en dehors de réguler la circulation pour éviter les bouchons routiers.
Ces pratiques de surcharge ne sont presque fréquentes au jour le jour dans les lieux de la circulation. Le cas le plus délicat est celui du KM5 où les surcharges se font par ces conducteurs de mototaxis sans se gêner que cela pourrait provoquer un accident de circulation. Il y a la cause du poids porté par cet engin qui, aujourd’hui, est devenu un mal nécessaire pour ceux qui l’empruntent.
Face à cette situation déplorable, que peut faire le ministère des transports pour ramener de l’ordre dans cette catégorie de transports urbains ? A quoi servent réellement les différents bureaux des Associations des conducteurs des mototaxis ?
Le mieux à faire pour répondre à ces interrogations est de veiller au respect des textes édictés par les autorités compétentes sur les surcharges dans le domaine de transports urbains, car la vie et l’avenir des enfants et des personnes qui l’empruntent tous les jours en dépendent.
Le ministère en charge des transports et de l’aviation, avec l’appui des forces de l’ordre, doivent prendre des mesures concernant ces bavures routières afin que quiconque ignore ou piétine ces règles soit punis conformément aux lois les concernant.