Par Thomas KOSSI
Bangui 28 octobre 2021—(Ndjoni Sango) : Comme les scolaires, professeurs et responsables de l’éducation sont à l’aise à la fin du premier tour du bac. L’on regarde maintenant pour la fin qui est la bonne période de pêche fructueuse. Que dira-t-on une fois que tout sera terminé ?
D’aucuns seront à l’aise. D’autres pas. L’organisation du premier grade universitaire marque des points et divergents et convergents. Mais pourquoi cet emballage ? En réalité, le baccalauréat crée le plus souvent bien de problèmes.
Des contraintes s’impliquent parce que faire le travail qui convient ne répond pas à ce que les candidats, les professeurs, disons tout court, le monde attend, que rien ne va pour le bac national.
Chaque année, quelle que soit la qualité de celui qui doit présider cette évaluation, la renommée baisse. Tout de suite, l’on sait que personne ne saurait réussir à cette étape. A grand jamais !
Ce qui étonne comme ministre de l’éducation nationale, personnel du système, tout individu bien mordus dans la chose, c’est le fait que l’on manque toujours le bout de cet examen. Tout le monde acclame votre entrée comme personnel dans le système, mais une fois en action, l’on semble comprendre que la faillite est là.
Les nouvelles idées s’amoncellent, mais les résultats sont négatifs de compte. Que faire alors quand on sait qu’enseigner est sa matière première ? Cela veut dire qu’il ne faut jamais se tromper quand on a une connaissance qui peut tromper.
Le tout sera d’aider au maximum et de favoriser les plus jeunes à faire leurs chemins. C’est pourquoi, il est conseillé d’amener les uns et les autres à s’en sortir aisément. Tant, que vaut le fait de marcher avec hésitation qui cadre mal avec la personnalité ?