Par Thomas KOSSI
Bangui 6 janvier 2022—(Ndjoni Sango): La RCA surprend le plus souvent par un comportement inadmissible. L’élu du peuple, en ce qui concerne le système éducatif selon les problèmes militaro-politiques, joue avec ses traitements pour faire respecter l’école dans son petit coin. Que devient le ministère de l’éducation dans le pays?
Le système éducatif qui constitue le noyau du développement, fait la part belle pour les pays en développement. N’importe quel Etat fait de son mieux pour que ce système aboutisse au mieux. Mais qu’advient-il qu’un représentant du peuple mette les pieds doubles pour que ses parents, cousins, neveux et autres ne passent pas par cette ficelle ?
Car, l’école dont l’Occidental a fait le sacrifice pour nous léguer, comporte bien de richesses comme le sous-sol national. Et de ce fait, toutes les guerres sont menées en vue de son accomplissement juste et sérieux.
Le grand mal en Centrafrique, le ministère de tutelle est tout à fait inexistant car les problématiques les plus fondamentales lui échappent foncièrement. Le chef de département qui vient-là, semble être un cuisinier dont la sauce pour sa soupe ne peut venir de lui mais des ONG qui tombent de par le monde.
Elles brillent par leur éclat à se substituer aisément au ministre qui ne fait que les attendre pour les proclamer solennellement comme des Princes. Sacré pays, la RCA, dont mettre même les clés dans la serrure échappe au propriétaire!
Que le premier responsable du pays ouvre les yeux pour voir ce qui se passe. Tant l’école que le pays essaie de ne pas faire grandir, coûtera extrêmement chère et la croissance chamboulera.
Parce qu’un député qui se noie pour relever un ministre qui doit être pris en bouteille, devient de la salade de fruit. Qui ouvre les portes de l’école ferme la porte des prisons, n’est-ce pas ?