Par Marly Pala
Bangui 8 mai 2023—(Ndjoni Sango). Le Département des Sciences de l’Information et de la Communication a totalisé 15 ans d’existence le mois d’avril dernier. A cet effet, suite à un agenda chargé des autorités universitaires, une journée porte ouverte a été organisée le vendredi 5 mai au sein dudit département, marquant la célébration en différé en présence de quelques membres du gouvernement, des autorités universitaires et aussi des étudiants et ressortissants de ce département.
Créé depuis 2008, le Département des Sciences de l’Information et de la Communication de l’Université de Bangui a totalisé 15 années d’existence. Et pendant ces années, il a eu à former de nombreux professionnels qui exercent tant dans la plupart des organes de presse nationaux et internationaux, mais aussi dans des organisations nationales et internationales et des institutions de la République.
Ce qui témoigne à suffisance, combien, ce département est indispensable en ce qui concerne la formation qualitative des professionnels de l’information et de la communication. Durant ces 15 ans quelles avancées et les difficultés que le DSIC a eu à rencontrer ?
En termes des avancées, le Département des Sciences de l’Information et de la Communication a pour son actif, plusieurs ressortissants qui envahissent le marché du travail et qui sont en train de gagner l’environnement médiatique centrafricain et des institutions nationales et internationales.
Mais depuis sa création, ce département éprouve d’énormes difficultés en ce qui concerne les infrastructures adéquates pour la formation, à cela s’ajoute le manque des outils, permettant la formation des étudiants et plusieurs autres manquements pour ne citer que ces cas-là, pourtant c’est un cadre de formation professionnelle qui nécessite des équipements.
En somme, le Département des Sciences de l’Information et de la Communication de l’Université de Bangui est un cadre qui a formé des centaines de professionnels travaillant dans plusieurs secteurs et continue de former d’autres jeunes en dépit de manque d’infrastructures et des équipements pour favoriser son environnement.