Par Thomas KOSSI
Bangui 28 janvier 2021-(Ndjoni Sango) : Le problème des Femmes en Afrique, soulève des tollés de protestations, vu les nombreuses difficultés qu’elles courent. La femme, comme on le pense, passe pour la simple compagne de l’homme et il n’y a plus rien à y ajouter. La société de l’heure approuve-t-elle une si probable réflexion ?
La violence basée sur le genre (VBG) prend une dimension extraordinaire dans la marche de la société. Et pourtant, à droite et à gauche, la femme semble valoir l’homme qui la battait et la bat encore à un moment donné.
Dès lors, les uns et les autres ont mesuré la grande distance du clivage. Et en dessous, ces compagnies de personnes humaines n’ont pas baissé de mains pour faire relever leur part de tristesse. Les combattantes ou les activistes de cette lutte, ont pu voir que leur acharnement pouvait un jour porter fruit.
On en viendra à 50/50 pour les femmes et les hommes. Mais ce tableau arrange-t-il la vue de ceux qui aiment la femme comme compagne de vie ? C’est un jeu de gamin que tous ne partagent pas de même point.
Pour les uns, à savoir les pédérastes, ils en explosent, alors que bien de concitoyens d’autre bord pensent que la femme sera à grand jamais l’inférieure du mâle, un point c’est tout.
Et donc deux idées complexes se meuvent. Le Oui et le Non. Que reste-t-il à faire en définitive ? La multitude de ce genre humain inonde le monde. Et comme tout va à la démocratie, le combat du féminisme ne peut que se mettre en place et un beau matin, le Conseil de sécurité reviendra sur le gros terme, 50 femmes et 50 hommes.
La belle justice des démocrates aura vu le jour pour tous ceux qui l’adorent ? Pensons-y !
