Par Thomas KOSSI
Bangui 21 février 2021—(Ndjoni Sango) : Tous les ressortissants de la République centrafricaine souffrent tant bien que mal, des affres de la guerre que fait livrer une coalition des groupes rebelles CPC dans le pays. Notre progéniture par les jeunes filles qui font le trottoir a également son rôle à jouer. NdjoniSango est allé vers ces personnes concernées.
En temps de paix dans la communauté nationale, celles qui font la joie du monde avec les étrangers de leur partie du corps exposé, en profitent comme bon leur semble. Avec la guerre qui plane en Centrafrique, que ressentent ces filles de joie devant être compressées ?
Le peu de temps que Marlyne nous a consacré, dit ouvertement : « Les moments que nous vivons pour l’heure, sont difficiles. L’état d’urgence imposé par la hiérarchie a un impact certain sur notre prestation. Que faire alors » ?
Notre tour n’étant pas terminé, une autre rencontre avec une compatriote Charlène a révélé ce qui suit : « La vie est courte mais ce que l’on peut réaliser peut dépasser cette petite vie à laquelle elle fait allusion. Le travail qui est le nôtre, connaît des bas et des hauts. Nous nous battons malgré tout pour faire l’impossible et faire régner notre prouesse de celle qui agrémente la joie de celui qui le souhaite ».
Après cette campagne de savoir exactement ce que font les péripatéciennes de Centrafrique, un brave homme qui a joué avec l’anonymat, s’est prononcé de cette manière :
« On ne peut rien dire si la gent qui égaie la société humaine à la main croisée dans l’exercice de ses amours. Tout va à reculons, tant la guerre des bandits perdure. Vivre avec la félicité au plaisir d’être avec une femme qui en donne partout, fait le grand bonheur de chaque homme lapin ».
Le jour de Centrafrique semble bien compté avec ce qui se passe sur son terrain natal. Les agissements des uns et des autres roulent au ralenti. Tout va alors à la traîne. C’est pourquoi, le combat que nous menons aujourd’hui, plie la main du citoyen devant travailler pour le renouveau de son pays.
Les concitoyennes qui se livrent, jour et nuit, à une tache fortement délicate, sont également prises dans le fléau de cette sale guéguerre dont les 623.000 km² sont profondément touchés.
A quand la fin des hostilités déclenchées par les Compatriotes des patriotes pour le changement(CPC) ?