Par Thomas KOSSI
Bangui 29 juin 2021—(Ndjoni Sango): Comme les électrices et électeurs ont attendu leurs premier ministre et son gouvernement ! A sa mise en place, Dondra et ses compagnons ne ramassent que des quolibets. Les responsables politiques doivent-ils faire l’objet de leur choix avant de voler à leurs postes ?
Hormis les tenants du pouvoir, les restes des Centrafricains qui, abusés par le « pouvoir discrétionnaire » du chef de l’Etat, vomissent ceux qui viennent orienter la destinée du peuple.
Tant le PARTAGE prédomine et domine le mot qui renferme la volonté des femmes et hommes de décisions de demain. Dans ce cas, la Démocratie sur les 623.000 km² sera-t-elle pure et sans nuages si les humains pouvant la servir manquent de poigne ?
Et pourtant, dès la prise de service du premier ministre donnait un rythme nouveau à la chapelle. Les termes nouveaux ont plaqué ce cheminement qui traçait les vies agréables que la nation souhaite de tout cœur.
Action et large ouverture prétendaient gouverner le modus vivendi que les citoyens appellent du début du jour au lendemain matin. Malheureusement que ces refrains ne sonnaient que dans le vide, et les regards de tout un chacun reste dans le vide.
Que faire alors si les choses ne vont pas comme les militants et autres ne sont pas près de sauter sur le parvis ?
Provoquer des nouvelles élections et pallier à la situation des morts, restent le credo qui risquerait de saper le moral du citoyen lambda dont la ferme résolution croît en tout temps.
Mais ne pas comprendre le malaise des ressortissants qui brûlent en raison des manques, fait perdre la vérité de croire en l’humanité. Jusqu’à quand ?
La démocratie qui est la nôtre, montre que la bêtise des uns et autres remonte au fait que nous ne sommes que bêtises nous-mêmes. Le mal qui est purement centrafricain, ne peut partir au loin si la RCA se tire de cette misérable condition.
