Par Thomas KOSSI
Bangui 6 octobre2021- (Ndjoni Sango) : L’accord de paix de Khartoum qui a connu sa signature finale le 6 février 2019 à Bangui, a regroupé et gouvernement et forces non conventionnelles. Qu’on le veuille ou non, tout le monde a mis la main à la pâte. Malheureusement, l’on s’inquiète présentement que le désordre contre lequel l’on cherchait à voir une issue, prend de l’ampleur ?
L’UPC de Ali Darassa prend un envol que l’on comprend difficilement. Ce même Darassa opte pour participer au dialogue républicain, parce qu’il serait parti de la CPC. Contre coup, le voilà qui massacre encore à grande échelle, les ressortissants de ce pays où il est devenu un multi milliardaire.
Sera-t-il un bonhomme qui, mourant dans un puits, est sauvé in extremis par un bienfaiteur qui le sauve de la mort mais il décide de le croquer sur le coup ? A moins que le pays fasse un faux rêve ?
Une trentaine de citoyens morts sous les exactions des ennemis de la paix. Les passagers de deux véhicules et les taxis motos qui sont éliminés. A quels desseins un tel massacre ? Vu que ces gens qui ont leur secours partout peuvent tuer, massacrer, faire disparaître comme bon leur semble. Nous allons les pleurer tant que le monde durera. Mais pourtant, la fin de ce système de choses est bel et bien prévue ?
Tous les Centrafricains crient et maudissent ce massacre qu’on leur impose. Jusqu’à quand continueront-ils à gémir ? Seulement, vu que le mal est dans la vie, les mortels que nous sommes tous, nous aurons le temps néfaste de crier : Oh, la mort !